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    Eric Serra est né le 9 septembre 1959 près de Paris. À 5 ans, Éric apprend à jouer de la guitare et à onze ans, son père lui offre sa première guitare électrique. À l'âge de quinze ans, il formait son premier quatuor nommé Flep qui s'inspire Deep Purple, Led Zeppelin ou Jeff Beck. Sa carrière professionnelle commence tôt. Dès l'age de 16 ans, il tourne avec le chanteur français Michel Murty, Jacques Higelin ou Jean-Louis Aubert,. En 1979, Serra travaille sur un album de Pierre Jolivet lorsqu'il fait la rencontre de Luc Besson pour la première fois. Cette rencontre change la vie d'Eric Serra qui compose la quasi-totalité des musiques des films de Besson.


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    Éric Serra fonde son propre studio d'enregistrement, The X-Plorer, et sa propre compagnie de production et d'édition, The X-Plorians. Il y enregistre toutes ses musiques synthétiques de ses bandes originales et des ses albums.  Entre 2002 et 2005, Éric Serra reste occupé à différents projets dont quelques bandes originales de film. Il produit et compose aussi pour quelques groupes tels que Harry Morse Project et Wild pour l'album intitulé Time.


    En 2005, il monte la société Recall Music For Films, spécialisée dans les bandes originales. Il donne aussi de temps en temps des concerts de jazz avec un petit groupe dans des bars européens.

     

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    Super moment, à ne pas rater............

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    Bon week-end tout zen les Pom' potes !!!!

    @dam


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    Yoshihiko Satoh : des guitares pas comme les autres

    Yoshihiko Satoh, artiste japonais né en 1968, ne se contentant plus d’une simple guitare, a souhaité donner vie à un nouveau genre de cet instrument. Une entreprise qui ne révolutionnera sans doute pas la musique, mais qui reste originale et design!! Pour voir plus de créations de ce designer / sculpteur,  rendez vous sur son site.

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    Et en plus le mec l’utilise.

     


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    D'autres guitares étranges sur le net.............ici

     



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    Pour ce lundi, je vous propose un morceau qui donne la pêche et qui en plus, dispose d’un clip superbe, amusant et étonnant. On voit que ce clip a été réalisé dans la bonne humeur et c’est communicatif. En plus, ce groupe nous permet de réviser notre histoire de l’art avec ces tableaux vivants légèrement détournés…

    Clip de 70 Millions, chanson du groupe franco-americain Hold Your Horses ! produit par L’Ogre, mettant en scène les membres du groupe dans un voyage à travers l’histoire de l’art.

     Au cas où vous ne retrouveriez plus votre Trival Pursuit voilà de quoi torturer vos amis en testant leur culture générale. Les réponses en fin de billet. Et pour la version impressionnistes, je vous laisse trouver seuls comme des grands.


     

       La Cène - Léonard de Vinci -          La naissance de Vénus – Sandro Botticelli -          La leçon d’anatomie de docteur Tulp – Rembrandt -          Henry VII – Hans Holbein le jeune -          La jeune fille à la perle – Jan Vermeer -          Le radeau de la Méduse – Théodore Géricault -          La mort de Marat – Jacques Louis David -          La création d’Adam – Michelangelo -          La grande guerre – René Magritte -          Composition en rouge, bleu et jaune – Piet Mondrian -          Autoportrait – Frida Kahlo -          Le portrait de Dora Maar – Pablo Picasso -          Le cri – Edvard Munch -          Autoportrait à l’oreille bandée – Vincent van Gogh -          Marilyn – Andy Warhol -          Portrait de Gabrielle d’Estrées et de sa sœur – anonyme – Ecole de Fontainebleau -          Vierge à l’enfant – Fra Angelico -          Salomé reçoit la tête de Jean-Baptiste – Caravage -          Olympia – Edouard Manet -          La Liberté guidant le peuple – Eugène Delacroix -          Portrait de Sylvia von Harden – Otto Dix -          Le baiser – Gustav Klimt -          La mariée – Marc Chagall -          L’infante – Diego Velasquez -          Les tournesols – Vincent van Gogh


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    John Robert Cocker, rebaptisé Joe Cocker, est né dans le Yorkshire, à Sheffield, le 20 mai 1944, et ne se destine en rien à la musique ! Il débute en effet un apprentissage de la plomberie qu’il arrête à l’âge de seize ans !
    Le virus musical le saisit à l’adolescence et il devient le chanteur de The Cavaliers, groupe emmené par son frère et qui se rebaptise peu après Vance Arnold and The Avengers.
    Joe Cocker enregistre un véritable premier single en 1963. C’est une reprise des Beatles, I’ll Cry Instead, mais il n’a pas la même réussite que ses copains du bord de la Mersey !
    Il intègre ensuite un nouveau groupe, Grease Band, mais ne renonce pas à son rêve et surtout à ses influences. C’est ainsi qu’il revisite à nouveau le répertoire des Fab Four en reprenant le fameux With A Little Help From My Friends.

     

    Nous sommes en 1968 et la carrière de Joe est lancée ! Il triomphe grâce à son premier album, sur lequel il convie toutes les pointures anglaises de l’époque (Jimmy Page de Led Zeppelin, Keith Moon des Rolling Stones, Steve Winwood).
    En 1969, il fait partie des grosses révélations du légendaire festival de Woodstock. L’année suivante, il entreprend une longue tournée aux États-Unis avec un groupe formé pour l’occasion, Mad Dogs And Englishmen, et un album du même nom.

    Les années 70 sont plutôt synonymes d’alcool et de drogue pour Joe Cocker. Paradoxalement, malgré cette déchéance, il reste très populaire outre-Atlantique, contrairement à son pays natal qui l’a déjà rangé aux oubliettes.

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    Il continue d’enregistrer à intervalles réguliers des albums de plus ou moins bonne facture: I Can’t Stand A Little Rain en 1974, Stingray en 1976 et Luxury You Can Afford en 1978.
    Il faut attendre 1982 et une sévère cure de désintoxication pour que Joe Cocker réapparaisse de manière spectaculaire. Il signe le somptueux Sheffield Steel, épaulé par des musiciens de génie comme Sly Dunbar et Robbie Shakespeare.
    A la fin de la même année, il interprète le thème principal du film Officier et Gentleman, en duo avec Jennifer Warnes : Up Where We Belong.

    En 1984, il est à nouveau sollicité par le cinéma et la bande originale de "Neuf semaines et demies " est un succès retentissant ! Il s’agit cette fois-ci d’une reprise de Randy Newman, You Can Leave Your Hat On

     

    Désormais débarrassé de ses vieux démons, Joe Cocker entame une nouvelle carrière et aligne les albums. Civilized Man (1984), Unchain My Heart (1987) avec la chanson titre empruntée à Ray Charles), One Night Of Sin (1989), Night Calls (1992), Have a Little Faith (1994), Organic (1996) et Accross From Midnight (1997).

    Il y a quelques jolis tubes à la clé et surtout, la possibilité pour Joe Cocker de travailler avec divers auteurs. C’est ainsi que pour No Ordinary World, en 1999, on note les contributions de Bryan Adams (déjà présent sur One Night Of Sin) et de Jean Jacques Goldman !
    En 2002, Cocker approche les quarante ans de carrière et célèbre cet anniversaire avec Respect Yourself, qui est lancé par une nouvelle reprise, une élégante version de Never Tear Us Apart, interprété à l’origine par le groupe australien INXS.

    Joe Cocker confirme cette propension à populariser les oeuvres des autres et il consacre tout à un album à cet art qu’il maîtrise tant en 2004: Heart & Soul dans lequel il nous offre une collection de douze grands standards tels que One (U2), Every Kind Of People (Robert Palmer), Everybody Hurts (R.E.M) ou Jealous Guy (John Lennon).

     

    Joe Cocker

     

    L'un des survivants de Woodstock, comme il le dit lui-même. Il est toujours là, avec la même voix rauque, la même silhouette brinquebalante. Bob Dylan a dit de lui : " Il est le plus beau larynx de tous les temps ! " À plus de 60 ans, Joe Cocker n'en finit pas d'écumer les scènes du monde entier.

     

     

     

     Son dernier album, Hard Knocks (2010)

     

    Joe Cocker

     


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