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    En achetant et revendant plusieur fois le même produit. Pareil pour le gaz, le pétrole, le sucre, le blé.....

    Une courte vidéo à voir pour prendre conscience de la perversité et de l'ignominie du monde financier inhumain parasitaire.


    http://img15.hostingpics.net/pics/857399peinturepersonnagecanettestreetart.jpgMy Dog Sighs

     

     

    Toujours présentés avec un peu d'humour et de panache, ces clips de Warrant Marrant n'en demeurent pas moins sérieux, car ils présentent des informations pertinentes et véridiques.


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    Des actions technologiques au prix élevés de l’essence, Goldman Sachs a fabriqué toutes les manipulations du marché depuis la Grande Dépression !!

     La première chose qu’il faut savoir sur Goldman Sachs, c’est qu’elle est partout. La banque d’investissement la plus puissante du monde est une formidable pieuvre vampire enroulée autour de l’humanité, enfonçant implacablement son suçoir partout où il y a de l’argent. En fait, l’histoire de la récente crise financière, qui est aussi l’histoire de la chute de l’Empire américain ruiné par des escrocs, se lit comme le Who’s Who des diplômés de Goldman Sachs.

     

    YouTube, images du net


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    Contre la stérilisation des sols agraires et pour la préservation des germes naturelles, liste des produits comme MONSANTO, utilisant des organismes génétiquement modifiés (OGM) : UNILEVER, LIPTON, KNORR, KELLOGS, COCA-COLA, PEPSI, QUAKER, SHWEEPS...

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    Monsanto poursuit sa course aux milliards sans être inquiété par la justice, porte plainte contre ceux qui les gênent, pollue la planète et ses habitants avec ses poisons en tous genres, s’approprie le vivant.
    Les décideurs, souvent corrompus, observent sans sourciller ! Ben oui, c’est la loi du commerce et de la concurrence, c’est comme çà, on n’y peut rien. Faisons comme eux, engageons nous dans cette lutte du pouvoir, c’est le propre de l’homme, chacun pour sa gueule, le premier qui écrase l’autre a raison, surtout s’il y a une valise de billets à la clé !

     

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    Ce ne serait donc que çà, la vie sur cette planète ? Nos hommes politiques n’ont que çà à nous proposer ?


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    Contre la stérilisation des sols agraireset pour la préservation des germes naturels, liste ci-dessous des marques complices de MONSANTO que nous nous devons donc maintenant de boycotter :

    UNILEVER, LIPTON, KNORR, KELLOGS, COCA-COLA, PEPSI, QUAKER, SHWEEPS, BEN&JERRY, MIKO, AMORA, CARTE D’OR, CORNETTO, MAGNUM, MAILLE, FRUIT D’OR, ALSA, VIENETTA, PLANTA FIN, MAÏZENA, PRO-ACTIV, LIPTON, AXE, MONSAVON, DOVE, TIMOTEI, SIGNAL, REXONA, BRUT, WILLIAMS, TONI&GUY, DOVE MEN+CARE, CIF, CAJOLINE, OMO, SKIP, SUN, PERSIL, BUHLER, DOMESTOS

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    Ces géants qui détruisent les petits commerces de proximité, pourront nous imposer leurs poisons aux prix qu’ils veulent, puisqu’ils auront éliminé la concurrence. Allons nous les laisser gagner? Avec le marché transatlantique, il devient urgent de résister.

     

     


     

    Source : Médiapart

     

    Guide : OGM

    Nouveau guide OGM de Greenpeace en ligne : en direct sur votre smartphone, faites vos courses sans OGM


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    Rien ne se perd, tout se transforme, pour toujours plus de bénéfices…Ce tas de carcasses  est écœurant et il faudrait  connaitre le prix de revient de ces " gourmandises ".. colorants + déchets + sucre = ?….

    La gélatine est fabriquée aussi avec les carcasses, voir la  vidéo qui explique comment est faite la gélatine avec le gras ….. Et malheureusement la gélatine est faite avec les carcasses…

     

     

    Et bien sûr on apprend que il n’y a pas que les bonbons qui contiennent de la gélatine….

     

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    Comprendre les étiquettes : qu’est-ce que la gélatine (E428 ou E441) ?

     

    Où la trouve-t-on ? La gélatine alimentaire peut porter le numéro E428, le numéro E441 et parfois ne pas porter de numéro car elle peut être considérée comme un ingrédient et non comme un additif. On la retrouve dans de nombreux produits transformés, dont 63 des 3000 produits référencés par la base Open food facts, des bonbons (guimauve) à la pizza en passant par les yaourts et le riz cantonais.

    Comment est-elle fabriquée ? La gélatine alimentaire est fabriquée par l’hydrolyse du collagène issu de la peau, des os ou des tendons d’animaux, notamment le porc.

    A quoi sert-elle ? La gélatine sert d’épaississant ou de stabilisant.

    Effets indésirables : Les méthodes de fabrication de la gélatine ont été remises en cause par l’épidémie de vache folle à la fin des années 90. Aujourd’hui, Aurèle Clémencin, expert santé à l’institut Noteo, ne voit plus " aucun lien avec des risques " et rappelle que l’institut Noteo a attribué à cet additif une note de dangerosité de 1/20. " Il peut y avoir des allergies, mais c’est très rare ", note de son côté Jean-Michel Lecerf, chef du service nutrition de l’Institut Pasteur de Lille.

    Précaution d’usage : Seules les personnes végétariennes ou ne souhaitant pas manger de porc pour des raisons religieuses doivent éviter ce produits. Ce qui peut poser des problèmes pour la consommation de médicaments.


    Terra eco vous aide à décrypter les étiquettes et à choisir vos aliments. Retrouvez la liste des additifs décryptés par ici, et nos explications sur la gélatine (E428 et E441) , le nitrite de sodium (E250), le carraghénane (E407), le glutamate monosodique (E621), le sulfite d’ammonium et le nitrite de sodium.

     

    Sources : Terra eco, Les moutons enragés

     


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    Par Sophie Chapelle

    « Légumes clandestins » ! L'inscription ironique figure sur les pancartes que des jardiniers et des consommateurs brandissent ce 4 juin sous les fenêtres de la direction régionale de la concurrence et de la consommation à Toulouse. Ils dénoncent la pression sur les petits producteurs qui commercialisent des variétés de légumes non inscrits au catalogue officiel (lire nos précédents articles). Quinze jours plus tôt, le 17 mai, des petits maraîchers ont reçu la visite d'un agent de la répression des fraudes, sur le marché de Lavelanet, en Ariège. Leur délit : vendre des plants de tomates non inscrites au catalogue officiel et ne pas disposer de la carte du GNIS, l'interprofession nationale des semences et des plants. Ils encourent une amende potentielle de 450 euros...
    « Bien que pour eux qui vendent moins de 10 000 plants par an, cette carte soit gratuite, pour le moment du moins, cette visite a causé un certain émoi, d'autant plus que jusqu'ici cette activité annexe était tolérée et que ces maraîchers ignoraient même que cette carte était obligatoire », réagissent plusieurs organisations dans une lettre commune.


    http://img4.hostingpics.net/pics/507272Picture20.pngTerry Border.


    Ces dernières voient dans ce contrôle « un abus s'inscrivant complètement dans une logique de généralisation du fichage de toutes les activités et de toutes les personnes qui échappent au contrôle des multinationales ». L'élu écologiste François Calvet, Vice-Président de la commission agriculture du Conseil régional Midi-Pyrénées, considère également ce contrôle comme « inopportun ». « La vente de plants par les maraîchers peut-être un revenu complémentaire non négligeable, écrit-il. Au moment où l'économie agricole est en crise, il n'est pas acceptable que ces paysans soient mis en difficulté par une application zélée de la réglementation sur la propriété intellectuelle ». Plus largement, les organisations associatives et paysannes demandent à « répondre à la forte demande des jardiniers de pouvoir trouver sur le marché des plants leur permettant de cultiver toute la diversité des variétés paysannes, locales ou exotiques qui ne pourront jamais être toutes inscrites au catalogue. » Entre 1954 et 2002, 80 % des variétés potagères auraient été radiées du catalogue selon le Réseau semences paysannes.


    http://img4.hostingpics.net/pics/878078terryborder1.jpgTerry Border.

    Des 876 variétés inscrites en 1954, il n'en restait plus que 182 au catalogue officiel français en 2002. La raison de ces radiations ? Le poids de l'industrie semencière, qui, depuis cinquante ans, cherche « à standardiser les semences pour les adapter partout aux mêmes engrais et pesticides chimiques », estime le Réseau semences paysannes.
    « Ces contrôles sont effectués avec pédagogie pour protéger les consommateurs mais aussi les producteurs », assure pour sa part la directrice régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l'emploi, Catherine d'Hervé. Cette action intervient alors que la législation sur la commercialisation des semences et des plants est en cours de révision à l'échelle européenne.

    La suite sur Bastamag....

    http://www.bastamag.net/article3109.html

     

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