Faites ce petit test qui ne vous prendra que quelques secondes pour tester votre cyberdépendance ici
Lisez ensuite cette synthèse pour en savoir plus
La "norme" fixée, pour considérer un internaute comme étant un cyberdépendant, représente une utilisation de 40 heures hebdomadaire. On ne compte pas dans ces 40 heures, les heures passées sur le net pour le travail. Il faut que ce soit pendant les loisirs de l'internaute.
On remarque également que ce "phénomène" touche de plus en plus en plus les jeunes (moins de 20 ans), qui sont peut-être moins apte à gérer leur temps de connexion. On a déjà pu observer des jeunes passer des nuits blanches à jouer à des jeux vidéo. Grâce à internet, cette passion pour les jeux se trouve amplifier par le fait que l'on ne joue plus contre l'ordinateur, mais contre d'autres personnes (rend plus interactif et plus imprévisible le jeu) et ceci quelle que soit l'heure de connexion. Donc les jeunes sont plus visés par le jeu pathologique On-line.
Ce n'est pas un simple objet comme le serai une seringue pour le toxicomane, car la seringue est "l'outil" qui sert à introduire le produit (de la dépendance) dans le corps. L'ordinateur, l'internet peut être perçu comme étant la substance elle-même. La relation de dépendance se fixe sur le net aussi bien que sur le sujet recherché par le cyberdépendant (grâce au net, je vais pouvoir trouver encore plus...)
Il y a une hausse du seuil de tolérance.
• Une cyberdépendance à caractère relationnelle (Facebook, chat, forum, etc.)
• Une cyberdépendance aux jeux en réseau.
• Une cyberdépendance à
caractère sexuelle.
• Une cyberdépendance dite "générale"
Les causes :
Les mécanismes de ces diverses cyberdépendantes sont les mêmes quelle que soit l'information recherchée. Le cyberdépendant cherche à assouvir ses envies, réduire ses anxiétés, etc. par le net.
Avec l'avènement des outils informatiques, les cas de cyberdépendance non cessées d'augmenter notamment par de nombreux facteurs qui peuvent être d'une grande importance chez les individus qui sont plus ou moins sensibles à la présence de ces facteurs qui vont être expliqués ci-dessous.
L'utilisation excessive de l'ordinateur causée par la cyberdépendance peut entrainer des troubles physiques plus ou moins graves provoqués par une trop grande période passée devant l'ordinateur donc une durée trop importante pour les yeux devant l'écran, une position inconfortable longue ou encore un non repos pour l'organisme qui vont être décrit ci-dessous.
Sécheresse des yeux :
La sécheresse oculaire est associée à une fatigue visuelle puisque le film lacrymal* qui est maintenu en permanence par le clignement spontané des paupières. C’est ce clignement qui empêche le dessèchement de la cornée. Nous clignons des yeux environ 20 fois par minute en temps normal et jusqu’à 5 fois moins devant l’écran. Ce qui provoque l'asséchement des yeux.
La position de l’écran par rapport aux yeux constitue également un facteur de variation de la sécheresse oculaire. Le volume lacrymal est plus important lors d’un regard dirigé vers le bas,
plutôt que vers le haut.
Ces tâches exercent une influence sur la sécheresse oculaire, puisqu’elles requièrent une attention concentrée qui réduit la fréquence des clignements et altère la surface de l’oeil.
Film lacrymal: c'est une fine couche humide qui protège les yeux
Maux de tête ou migraines :
Les maux de tête sont dus à la trop forte luminosité de l'écran qui provoque au bout de plusieurs heures d'utilisation de l'ordinateur des migraines.
Maux de dos ou d'épaule :
Ces maux de dos et d'épaules sont essenciellement provoqués par la posture adopté lors de l'utilisation de l'ordinateur, puisque essentiellement chez les adolescents, ils sont soit allongés sur leur lit devant leur ordinateur portable tout en regardent l'écran ce qui donne une position courbé et donc une position anormal pour le dos, ce qui provoque des douleurs à terme. Aussi ces maux de dos et d'épaules sont causé par une mauvaise posture assise devant l'ordinateur.
Syndrome du canal carpien :
Le syndrome du canal carpien a pour origine une compression du nerf médian dans un canal inextensible, constitué par les os du carpe et par le ligament annulaire.
Provoqué par l'augmentation du volume des tendons (suite une sollicitation importante, gestes répétitifs, combinés à de la force, tractions et frottements des tendons trop importants. Quand ces structures enflent (tendinites ou ténosynovites), elles compriment le nerf médian. Et plus elles frottent les unes contre les autres, plus le reflexe inflammatoire est entretenu.
Amaigrissement :
L'amaigrissement est une conséquence de la cyberdépendance puisque la personne à tendance à sauter les repas et même à ne pas prendre conscience qu'elle ne s'est pas nourri, on constate sur une période relativement courte une perte de poids de la personne cyberdépendante.
Insomnies ou changements dans le cycle du sommeil :
Des troubles de sommeil causé premièrement par l'utilisation excessive de l'ordinateur jusqu'à être irrégulier dans les cycles de sommeil puisque le cyberdépendant à tendance à l'utiliser très tard dans la nuit voir jusqu' à tot le matin. Et deuxièment, une personne qui est devant son écran peut avant d'aller se coucher ne pas pouvoir s'endormir puisque le cerveau est en forte activité lorsqu'il est devant un écran.
=> En conclusion les conséquences physiques sont principalement causés par la trop grande utilisation de l'ordinateur (ex: En Corée du Sud une personne de 24 ans est décédé après 86 heures de jeu).
Les différentes conséquences psychologiques causées par la cyberdépendance, sont soit des conséquences dues à l'utilisation abusive de l'ordinateur ou des conséquences par la privation de l'ordinateur, celles-ci seront décrites ci-dessous:
Conséquences dues à l'utilisation abusive de l'ordinateur:
Conséquences dues à la perte du moyen d'assouvir l'addiction :
Quelques chiffres sont intéressants à noter :
- Chaque minute, 35 heures de vidéos sont envoyées sur Youtube.
- 48% des 18-34 ans vont sur Facebook à leur réveil.
- 57% des personnes parlent plus facilement sur internet que dans la "vraie vie".
- Seulement 28% des utilisateurs de Google+ sont de sexe féminin.
- 44% des emails ne sont jamais ouverts.
Sources :pecyberdependance, images du net
Commentaire de : Lady Gaga qui à le mérite de remettre les choses à leur juste place !!! Le réel avant le virtuel ! Et tant mieux si les deux mondes peuvent cohabiter en toute sérénité en privilégiant le monde réel
.Bonjour Adam
Les débuts du blogueur sont toujours difficiles.Puis, passées les premières difficultés techniques, rédactionnelles, identitaires, etc... vient la période euphorique
où la première bouteille (la première note !) est lancée à la mer. Pendant cette période, les blogueurs ne font pas très attention au nombre de visiteurs :
- ils n'y pensent même pas
- ils ne savent pas comment mettre un compteur sur leur blog
- ils sont plus préoccupés par trouver le titre et le contenu de leur prochaine note.
Puis, un matin,un commentaire vient éclore miraculeusement au pied d'une note. Stupéfaction , fébrilité : un inconnu a trouvé mon adresse et a poussé la porte de mon blog. En plus, ô surprise, il
a laissé un message. Qu'est-ce qu'il a bien pu vouloir me dire ? A-t-il trouvé ma note passionnante ? Va-t-il m'éreinter ? En général, les commentaires sont plutôt sympathiques ; ouf ! Et petit à
petit s'installe l'excitation, la curiosité et le désir de multiplier les notes ...pour multiplier les visites et les commentaires. S'installe également la promenade régulière, tôt le matin ou
tard le soir, dans la blogosphère où l'on fait parfois des rencontres inattendues - véritables coups de foudre- ou rencontres bof-bof. Ces promenades sont mises à profit par le blogueur pour
admirer avec une pointe d'envie toutes les ressources techniques disponibles mises en place par d'autres blogueurs. Commence alors la période où il va s'escrimer à les mettre en œuvre à son tour
-moyennant des heures et des heures d'essais infructueux.
Ca y est, subrepticement, l'addiction s'est installée.Le blogueur commence par regarder ses "stats" plusieurs fois par jour. Dès qu'il se lève, - de + en + tôt -, il vérifie le nombre des visites
et maudit les dimanches ou les vacances et jours fériés parce qu'alors la fréquentation chute (c'est bien sûr général)....
L'écran de l'ordi a insidieusement remplacé l'écran de la télévision. Le blogueur addict scrute compulsivement plusieurs fois par jour son compteur, comme un ado qui vérifie 10 fois dans la
journée la boîte aux lettres pour y chercher la lettre que sa dulcinée ...ne lui a pas envoyée.
Le suivi du classements du blog dans les compteurs sont aussi une source d'augmentation de l'addiction. Jusqu'au jour où le blogueur qui a atteint son palier de fréquentation devient fataliste et
s'en contente, ou écœuré arrête.
C'est grave Docteur ? Avant de répondre, je dirai qu'il ne faut pas confondre l'addiction des ados collés à leur MSN ou MySpace (voir l'article de Libé d'aujourd'hui qui en fait sa une :
l'internet drague les ados) avec l'addiction des blogueurs adultes semi-pros.
Article d'Henri Kaufman
La réalité, elle est là !!! alors oui il faut privilégier les véritables relations humaines.... le reste c'est du virtuel car on sait pas vraiment à qui on a affaire derrière son ordi.
Lady Gaga
Cliqu