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    Touristes attention ! Il est dorénavant interdit, dans le centre historique de Rome, de manger un sandwich devant le Colisée ou au bord de la fontaine de Trevi, à moins d'être attablé à une terrasse dûment homologuée. Les contrevenants se verront infliger une amende de 25 à 500 euros.

    Pourquoi  ? La miette de sandwich attire-t-elle le pigeon, nuisible indécrottable de la ville-monde ? Le casse-croûte pas cher salami-olives a-t-il été banni par un lobby de restaurateurs âpres au gain ? Vous n'y êtes pas. Cette ordonnance prise par la mairie, de droite, entrée en vigueur mardi, est censée améliorer grandement la circulation des gens, des regards et des admirations dans le centre-ville envahi de touristes, de vagabonds et de sans-abris. Or certains parmi ces dernier ont le mauvais goût de s'installer devant les monuments, d'y bivouaquer, voire d'y mâchonner un jambon-beurre.

    Selon les termes de cet arrêté antivagabondage étendu à la mangeaille, qui sera valable jusqu'au 31 décembre : "Il est interdit de bivouaquer ou de faire des abris de fortune et de s'arrêter pour manger ou boire, de manière à ce que les zones ayant une valeur historique et architecturale particulière soit utilisées exclusivement comme lieu d'où l'on peut jouir d'un panorama." Notons : "ou boire". Attention, touristes ! Planquez vos gourdes. Ou faites en sorte de n'avoir pas l'air de vagabonds quand vous les sortez.

    Des ordonnances similaires ont déjà été prises dans plusieurs autres villes italiennes, comme Venise, Florence ou Bologne, où elles sont également appliquées uniquement dans le centre historique, près des sites les plus connus.

     

    Ils sont fous-


    Je pense que ce sont des lois contre le vagabondage qui n’osent pas dire leur nom. Les vagabonds, c’est-à dire les SDF, c’est mauvais pour le tourisme et peu apprécié des locaux. Ainsi on peut interdire de dormir en public comme on l’a fait à San Francisco. La consommation de boisson alcoolisée est aussi une cible favorite, même si seul l’excès est cause de troubles publics.

    Il y a une époque où on a essayé d’intégrer tout le monde dans le mécanisme économique global d’un pays. Aujoud’hui, on essaie surtout d’oublier et de faire oublier le nombre croissants d’exclus.

     

    Source


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      En 1962, Nelson Mandela était arrêté et emprisonné par les autorités sud-africaines. Cette incarcération durera 27 ans. Afin de commémorer cet événement majeur de l’apartheid, Marco Cianfanelli (Johannesburg, 1970) a décidé d’ériger, à 3km d’Howick, sur les lieux de l’interpellation, une sculpture à l’effigie de ce résistant, devenu plus tard président du pays. Cinquante colonnes en acier, découpées au laser et montant jusqu’à 9.48 mètres, constituent ainsi le portrait de Nelson Mandela. Le nombre marque les cinquante ans de la capture de cette icône. Mais il symbolise également l’idée que plusieurs entités forment un tout et renvoient à l’ironie politique d’une arrestation qui a finalement consolidé le mouvement contestataire qu’elle prétendait enrayer.


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    Son site


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    Petit rappel....certaines puces RFID peuvent être greffées sous la peau, permettant l'envoi de données personnelles et "sécurisées".
    Mais ce n'est pas sans danger pour l'organisme.
    Le RFID fera partie intégrante de nos vies dans un futur très proche, pour le meilleur et pour le pire...

    Chaine Belge, Reportage Sur Les Dangers De La Puce RFID

     


    Voilà à quoi pourrait ressembler la commande d’une pizza en 2015…??

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    Standardiste :  – Speed-Pizza, bonjour.
    Client : – Bonjour, je souhaite passer une commande s’il vous plaît.

    Standardiste :   – Oui, puis-je avoir votre NIN, Monsieur ?
    Client :  – Mon Numéro d’Identification National ? Oui, un instant, voilà, c’est le 6102049998-45-54610.

    Standardiste :  – Je me présente je suis Jules Verne. Merci Mr Jacques Lavoie. Donc, nous allons actualiser votre fiche, votre adresse est bien le 174  avenue de Villiers à Carcassonne, et votre numéro de téléphone le 04 68  69 69 69. Votre numéro de téléphone professionnel à la Société Durand est le  04 72 25 55 41 et votre numéro de téléphone mobile le 06 06 05 05 01.  C’est bien ça, Monsieur Lavoie ?
    Client (timidement) :   – Oui !!

    Standardiste :  – Je vois que vous appelez d’un autre numéro qui correspond au domicile de Mlle Isabelle Denoix, qui est votre assistante technique.  Sachant qu’il est 23h30 et que vous êtes en RTT, nous ne pourrons vous livrer au domicile de Mlle Denoix que si vous nous envoyez un XMS à partir de votre portable en précisant le code suivant AZ25/JkPp+88.
    Client :  – Bon, je le fais, mais d’où sortez-vous toutes ces informations ?

    Standardiste : – Nous sommes connectés au système croisé, Monsieur Lavoie.
    Client (Soupir) : – Ah bon !…. Je voudrais deux de vos pizzas spéciales mexicaines.

    Standardiste : – Je ne pense pas que ce soit une bonne idée, Monsieur Lavoie.
    Client : – Comment ça ???…

    Standardiste :  – Votre contrat d’assurance maladie vous interdit un choix aussi dangereux pour votre santé, car selon votre dossier médical, vous  souffrez d’hypertension et d’un niveau de cholestérol supérieur aux  valeurs contractuelles. D’autre part, Mlle Denoix ayant été médicalement traitée il y a 3 mois pour hémorroïdes, le piment est fortement déconseillé. Si la commande est maintenue la  société qui l’assure risque d’appliquer une surprime.
    Client :  – Aie ! Qu’est-ce que vous me proposez alors ?…

    Standardiste :  – Vous pouvez essayer notre Pizza allégée au yaourt de soja, je suis  sûre que vous l’adorerez.
    Client :  – Qu’est-ce qui vous fait croire que je vais aimer cette pizza ?

    Standardiste :  – Vous avez consulté les ‘Recettes gourmandes au soja’ à la bibliothèque  de votre comité d’entreprise la semaine dernière, Monsieur Lavoie et  Mlle Denoix a fait, avant hier, une recherche sur le Net, en utilisant le moteur  http://www.moogle.fr ‘_avec comme mots clés soja et alimentation. D’où ma suggestion.
    Client :  – Bon d’accord. Donnez-m’en deux, format familial.

    Standardiste :  – Vu que vous êtes actuellement traité par Dipronex et que Mlle Denoix prend depuis 2 mois du Ziprovac à la dose de 3 comprimés par jour et que la pizza contient, selon la législation, 150 mg de Phénylseptine par 100 g de pâte, il y a un risque mineur de nausées si vous consommez le modèle familial en moins de 7 minutes. La législation nous interdit donc de vous livrer. En revanche, j’ai le feu vert pour vous livrer immédiatement le modèle mini.
    Client :  – Bon, bon, ok, va pour le modèle mini. Je vous donne mon numéro de carte de crédit.

    Standardiste : – Je suis désolée Monsieur, mais je crains que vous ne soyez obligé de  payer en liquide. Votre solde de carte de crédit VISA dépasse la limite et vous avez laissé votre carte American Express sur votre lieu de travail. C’est ce qu’indique le Credicard Satellis Tracer.
    Client :  – J’irai chercher du liquide au distributeur avant que le livreur n’arrive.

    Standardiste :  – Ça ne marchera pas non plus, Monsieur Lavoie, vous avez dépassé votre  plafond de retrait hebdomadaire.
    Client : Mais ?… Ce n’est pas vos oignons ! Contentez-vous de m’envoyer les pizzas ! J’aurai le liquide. Combien de temps ça va prendre ?

    Standardiste : -  Compte-tenu des délais liés aux contrôles de qualité, elles seront chez vous dans environ 45 minutes. Si vous êtes pressé, vous pouvez  gagner 10 minutes en venant les chercher, mais transporter des pizzas en scooter est pour le moins acrobatique.
    Client :  Comment diable pouvez-vous savoir que j’ai un scooter ?

    Standardiste :  – Votre Peugeot 408 est en réparation au garage de l’Avenir, par contre  votre scooter est en bon état puisqu’il a passé le contrôle technique  hier et qu’il est actuellement stationné devant le domicile de Mlle Denoix. Par ailleurs j’attire votre attention sur les risques liés à votre taux d’alcoolémie. Vous avez, en effet réglé quatre cocktails Afroblack au Tropical Bar, il y a 45 minutes. En tenant compte de la composition de ce cocktail et de vos caractéristiques morphologiques, ni   vous, ni Mlle Denoix n’êtes en état de conduire. Vous risquez donc un retrait de permis immédiat.
    Client :  – @#%/$@& ?# !

    Standardiste :  – Je vous conseille de rester poli, Monsieur Lavoie. Je vous informe que notre standard est doté d’un système anti-insulte en ligne qui se  déclenchera à la deuxième série d’insultes. Je vous informe en outre que le dépôt de plainte est immédiat et automatisé. Or, je vous rappelle que vous avez déjà été condamné en juillet 2009 pour outrage à agent.
    Client (sans voix) :  – .

    Standardiste :  – Autre chose, Monsieur Lavoie ?
    Client :  – Non, rien. Ah si, n’oubliez pas le Coca gratuit avec les pizzas,  conformément à votre pub.

    Standardiste :  – Je suis désolée, Monsieur Lavoie, mais notre démarche qualité nous  interdit de proposer des sodas gratuits aux personnes en surpoids. Cependant à titre de dédommagement, je peux vous consentir 15 % de remise sur une adhésion flash au contrat Jurishelp, le contrat de protection et d’assistance juridique de Speed assurance. Ce contrat pourrait vous être utile, car il couvre, en particulier, les frais annexes liés au divorce. Vu que vous êtes marié à Mme Claire Lavoie, née Girard depuis le 15/02/2008 et vu votre présence tardive chez Mlle Denoix, ainsi que l’achat il y a une heure à la pharmacie du Canal d’une boîte de 15 préservatifs et d’un flacon de lubrifiant à usage intime. À titre promotionnel, je vais faire joindre aux pizzas un bon de 5 EUR de réduction pour vos prochains achats de préservatifs valable chez Speed-Parapharma. Toutefois veuillez éviter les  pratiques susceptibles d’irriter les hémorroïdes de Mlle Denoix, pour lesquelles Speed-Parapharma se dégage de toute responsabilité. Bonsoir Monsieur et merci d’avoir fait appel a Speed Pizza.

    Sources : Liesi

     

     

     

     

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    Avec les smartphones, "les gens sont de plus en plus sous laisse électronique"

     

     

    Salariés sous surveillance: Vidéosurveillance, géolocalisation des véhicules professionnels, réseaux sociaux à portée de clic : jamais les outils à la disposition des entreprises pour surveiller leurs salariés n’ont été aussi accessibles, simples, et précis. Les domaines d’action peuvent sembler légitimes : la lutte contre les vols, le contrôle de la rentabilité, la prévention de la concurrence déloyale, ou de la diffamation de l’entreprise. Mais à quel moment la surveillance franchit-elle les limites posées par la loi ou la morale ? Où se situe la frontière entre une bonne gestion de l’entreprise et l’espionnage ? La vie privée des salariés est-elle menacée ? Une équipe d’Envoyé Spécial a enquêté sur ce phénomène de surveillance des salariés. Elle a recueilli des témoignages inédits, et enquêté sur ces espions, qu’on appelle des "implants" (faux salariés infiltrés) dans le monde de la sécurité. Une pratique moins exceptionnelle qu’on ne le pense... Plongée au cœur de ces entreprises entrées dans l’ère du soupçon.

    En matière de surveillance au travail, la Cnil s'assure notamment que les dispositifs de vidéosurveillance ne remettent pas en cause la liberté des salariés (en filmant des vestiaires, des locaux syndicaux, ou encore en surveillant de façon constante des salariés sans que cela soit justifié). Environ 3.000 dispositifs de vidéosurveillance en entreprise avaient été déclarés à la Commission en 2008-2009 et près de 6.000 en 2011, soit un doublement en trois ans. Entre 2010 et 2011, les plaintes liées à ces dispositifs ont également augmenté de 13%. Au cours de la même période, les plaintes liées à l'accès aux dossiers personnels constitués par les employeurs sur leurs salariés ont augmenté de 20%.

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