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    Ecoutez bien cette vidéo à partir de 5 min 20

    le grand silence de Nicolas Doze et des autres invités quand Steg annonce de manière imagée que le bank holiday est pour bientôt.
    En étant chez Blackstone, et ancien de Lazard, Goldman … etc il doit être au parfum.
    Très instructif cette vidéo et vue la réaction des autres , surpris par cette révélation qui ne devait pas sortir, et l’empressement de Doze a changer de sujet.
    Je pense que l’info est a prendre au sérieux..............

     

     

    Regardez la tronche des gars autour de la table. Pour baucoup l’ORDO AB CHAO est encore aujourd’hui du complotisme internet blablabla…blablabla!!!!

    Voir aussi.....

     

    Source : LIESI


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    C’est la nouvelle grande idée des néolibéraux britanniques : renoncer à ses droits en tant que salarié en échange d’actions en bourse de son entreprise. Tel est le projet du ministre des Finances britannique George Osborne, présenté le 8 octobre lors du congrès annuel du parti conservateur (Tories).

    Selon sa proposition de loi, les salariés renonceraient à s’opposer à un licenciement et à demander des indemnités de départ. Ils accepteraient également des horaires de travail flexibles et de se former sur leur temps libre. En échange, les entreprises leur « offriraient » entre 2 500 et 62 000 euros d’actions boursières. Le tout exonéré d’impôts. La réforme doit entrer en vigueur en avril 2013. Les salariés présents dans l’entreprise ne devraient pas être forcés d’accepter cet échange, qui s’appliquera cependant à toute nouvelle embauche.

    Pour le ministre anglais des Finances, cette réforme permettra aux employés « de remplacer [leurs] vieux droits à contester un licenciement abusif par de nouveaux droits de propriété. Et nous ne prélèverons pas d’impôt sur les gains que vous ferez sur ces actions » Ou comment détruire le droit du travail tout en ruinant les finances de l’État, pour l’unique profit des gros actionnaires de l’entreprise.

    Après avoir considérablement réduit les budgets de la protection sociale et des services publics, augmenté les frais d’inscription à l’université et la TVA (voir  article ici), le gouvernement britannique conservateur poursuit la casse sociale. Et s’oppose à toute régulation de la spéculation financière à la City.

    Vu que la bourse, c’est manipulation et trucages, et qu’en plus au moindre pet de mouche qui passe dans la machine, c’est la dégringolade assurée vu le niveau de fragilité de l’économie actuelle, proposer des actions, c’est ridicule et frise le foutage de gueule complet!


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    Source : Bastamag

     



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    Eviter le gaspillage et les déchets en redonnant une seconde vie à des objets encore en bon état, telle est l’idée qui a pris corps au Magasin pour rien, à Mulhouse, en Alsace.Dans cette caverne d’Ali Baba, n’importe quel citoyen, pauvre ou riche, peut prendre trois articles de son choix et repartir… sans rien payer ! La gratuité, une idée neuve en Europe, mise en pratique dans ce lieu unique en France.

    L’idée

    C’est en visitant le quartier alternatif allemand de Fribourg que Roger Winterhalter, ancien maire écolo de Lutterbach (Haut-Rhin), a découvert ce concept de Magasin pour rien, " Umsonstladen ", dans la langue de Goethe :

      "L’idée de faire profiter des objets que l’on stocke dans nos caves ou greniers ceux qui en ont besoin, plutôt que de jeter, me semblait vraiment pertinente dans notre société de surconsommation. Mais je souhaitais aller au-delà des milieux alternatifs et favoriser la mixité sociale dans notre Magasin pour rien. "

    Nul besoin de montrer patte blanche pour faire ses emplettes… gratuitement ! Il suffit de franchir la porte du local et de se servir en contrepartie d’un sourire. Derrière le comptoir, où un livre d’or remplace le tiroir-caisse, Mireille veille à ce que les personnes accueillies ( une quarantaine chaque semaine sur trois demi-journées d’ouverture) ne repartent pas les mains vides.

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    Iman, en service civique, et Mireille, dans le Magasin pour rien à Mulhouse

     

      "Ici c’est l’humain qui compte. Pas besoin de justifier sa situation sociale, la porte est grande ouverte à tous, dans le respect, la convivialité et la solidarité."

    Un mode de fonctionnement tellement inhabituel qu’il en surprend plus d’un. Ceux qui franchissent le seuil pour la première fois le font avec une certaine timidité. Ils sont vite rassurés par Mireille qui les accueille chaleureusement tout en leur expliquant le " mode d’emploi ".

      "Nous avons nos habitués comme cette famille originaire du Kosovo, venue aujourd’hui avec ses deux enfants qui se font plaisir à dénicher un livre ou un DVD. "

    En partant, les " clients " offrent une mine ravie à Mireille. Quant aux minots, ils demandent l’autorisation, toujours accordée, de se servir en bonbons disposés sur le comptoir avant de repartir les bras chargés d’objets (vaisselle, petit électroménager, jouets, etc.) qui leur seront bien utiles dans leur difficile quotidien de réfugiés.

    Comment la mettre en pratique ?

    Pour lancer le Magasin pour rien, en décembre 2009, Roger Winterhalter s’est appuyé sur un collectif d’associations regroupées au sein de la Maison de la citoyenneté mondiale dont il est aussi le fondateur. Il a ensuite trouvé un local et embauché Mireille, sous contrat aidé subventionné par l’Etat. Les frais de fonctionnement mensuels, de l’ordre de 500 euros une fois les subventions déduites, sont notamment assurés par les dons de particuliers. Et pour la première fois en 2011, la ville de Mulhouse lui a versé une subvention de 2 000 euros.

    Dans cette initiative où le superflu des uns pourvoit au minimum vital des autres, s’illustre la conviction politique du fondateur :

      "Il faut apprendre à recycler, réutiliser ce qui existe, pour promouvoir un mode de vie basé sur la décroissance."

    Pour cet ancien élu, pas question de misérabilisme, d’aide sociale ou de charité.

      "Tout le monde peut donner ou recevoir ces objets. C’est une bonne chose pour la planète. Et l’anonymat de ceux qui donnent et reçoivent permet de respecter une certaine dignité et égalité entre les personnes qui fréquentent le Magasin pour rien, quel que soit leur niveau de vie."

    Ce qu’il reste à faire

    Ouvert il y a bientôt trois ans, le Magasin pour rien de Mulhouse demeure une expérience unique en France. Elle cohabite de façon complémentaire avec des structures comme  Le Relais, ou  Emmaüs qui, elles, recyclent des objets mais en les revendant pour financer la réinsertion de ses compagnons.

    Pour Roger Winterhalter comme pour Mireille Gigante, l’objectif est d’essaimer. Leur ambition : que des Magasins pour rien fleurissent dans l’Hexagone et à l’étranger. Il suffirait pour cela de bonnes volontés, d’une poignée de bénévoles animés par l’envie de modérer la société de surconsommation en instaurant des rapports qui ne sont pas basés sur l’argent… Une utopie ? Oui, mais réaliste, à en croire ses plus ardents défenseurs.

    Simone Sonntag pour R89

     

     

     

    Aller plus loin

     

    Magasin pour rien
    103, rue Vauban, 68100 Mulhouse
    Les mardis et jeudis matins, de 9 heures à 12 heures. Le vendredi, de 14 heures à 17 heures



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    Les dents grincent dans les hautes sphères de la finance. Et pour cause, la chaîne TV franco-allemande Arte diffusera ce mardi soir 04/08 une “Thema” autour de la toute puissante banque d’affaires américaine Goldman Sachs. Avec en prime-time un grand documentaire produit par Capa et coréalisé par les grands reporters Marc Roche (Le Monde) et Jérome Fritel (Capa TV). Fruit d’une année d’investigation, La banque qui dirige le monde est un portrait édifiant de cet empire invisible, riche de 700 milliards d’euros d’actifs (soit deux fois le budget de la France), qui s’est enrichi pendant la crise des “subprimes “ en pariant sur la faillite des ménages américains, et a été sauvée de la sienne grâce à ses appuis politiques. Le tout argumenté par de nombreux témoignages vidéo : banquiers, économistes, traders, journalistes, législateurs, responsables politiques…  En avant-première de sa diffusion, un mini-site invite l’internaute à visiter cette banque représentée comme un supermarché de la finance. Différents rayons permettent de plonger au cœur de cet empire tentaculaire. Du rayon “Bricolage”, qui concerne le commerce et la spéculation sur les matières premières non alimentaires (métaux, pétrole, gaz…) jusqu’au rayon “Direction”, détaillant les primes mirobolantes de ses dirigeants. De nombreux extraits qui ne figurent pas dans le montage final, faute de place, complètent ce document interactif riche d’enseignements.

     

    Source: Liesi

     



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