• Au moyen Orient, Durex a lancé via l'agence de com'BUZZAM

    une campagne de publicités qui joue avec votre imagination. Destinées au web, celle-ci est décomposée en 4 séquences de quelques secondes dont les premières images sont très évocatrices..........

     

     

     

     


    votre commentaire
  • Sarközy n'a rien vu à Fukushima...

    SARKO.png

     Il n’a rien vu à Fukushima et pour cause il n’y a pas mis les pieds, il s'est juste posé quatre heures à Tokyo, pourtant il affirme sans ciller (enfin il cligne des yeux et agite les épaules, mais  ça c’est habituel) qu’il y est allé avec Nathalie, laquelle se contente de rire et participe ainsi du mensonge. Du coup je me souviens qu’au début de son septennat il nous avait raconté avoir participé en personne à la destruction du mur de Berlin, cela avait été vite démenti (par Juppé soi-même) mais du coup avaient fleuri d’innombrables images témoignant de la présence de l’agité un peu partout sur la planète et à toutes les époques. J’avais alors participé à cette joyeuse forme de refus des forfanteries et mensonges présidentiels en imaginant cette chose impensable, vu son amour du savoir et de la culture, un Sarkozy inventant l’école.D'autres l'avaient repéré à Yalta, à Rethondes, à Pékin face aux chars, défilant avec de Gaulle en 44 ou inventant l'art pariétal à Lascaux. On l'avait même vu mater les dinosaures. De cette heureuse émulation face aux forfanteries sarkozystes, j'ai gardé copie, ce sera plaisant de les revoir quand il aura filé au Carmel dans quelques semaines. En attendant il serait bon de montrer à un maximum d'indécis à quel point ce président est incapable de garder le contact avec la réalité.

    Source : Mediapart

      http://www.youtube.com/watch?v=OZ5pF17V3FE&t=36m

     

     

     

     

      plantage

     

     

     

     

     

     


    votre commentaire
  • L'experte de la souffrance au travail virée par son employeur

    harcelement.jpg

    par Mathieu Magnaudeix

     

    Comme beaucoup de ses patients, le travail l'a usée. Et comme beaucoup d'entre eux, ses trente ans de carrière à l'hôpital se terminent par un licenciement pour«inaptitude physique». Cruelle ironie pour Marie Pezé, psychosomaticienne au Centre d'accueil et de soins hospitaliers de Nanterre depuis trente ans, une des premières à avoir lancé en France une consultation sur la souffrance au travail, en 1997.

    Jeudi 8 juillet 2010, elle s'est rendue à son entretien préalable. Mardi 20, elle a reçu une lettre de son employeur: licenciée pour «inaptitude physique». Souffrante, son état de santé se dégradant, elle tentait d'obtenir depuis plusieurs mois un aménagement de poste. Sans succès. Le 14 juin 2010, elle a été déclarée inapte à son poste par le médecin du travail, et l'hôpital affirme ne pas avoir de solution de reclassement pour elle.

    Selon Rue 89, qui a révélé l'information, Marie Pezé, qui perd du coup «ses fonctions de responsable pédagogique, d'experte devant les tribunaux, et d'enseignante à l'université», afférentes à son poste, va poursuivre son ancien employeur.

    En septembre 2008, je lui avais rendu visite. Elle venait de publier un témoignage qui allait connaître un joli succès d'édition, Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés (Pearson). Je l'avais suivie une journée, dans l'intimité de sa consultation. Elle m'avait raconté comment «cette orgie de violence sociale» dont elle était témoin lors des consultations l'avait usée...

      Extait de l'article.....................

    "Tout au bout du couloir à gauche, il y a un bureau impersonnel, avec des planches d’anatomie au mur et un calendrier bancal. C’est là qu’échouent ceux que le travail a broyés. Quand ils arrivent, ils ont le regard «vide, sidéré, hagard, la pensée défaite», écrit Marie Pezé. En 1997, quand elle a créé la consultation, Marie Pezé ne pouvait que constater l’ampleur des dégâts, après des mois de souffrance silencieuse. «Certains arrivaient dans des états de psychose hallucinatoire, de véritables maladies mentales, des dépressions comme je n’en avais jamais vu.» A force de voir des employés usés défiler dans leur bureau, les médecins du travail ont compris : aujourd’hui, ils adressent les gens un peu plus tôt. Chaque jour gagné est un pas de plus vers le retour à la surface."

      marie pezé

    Marie Pezé est psychosomaticienne, elle s’occupe du corps et des âmes. Elle travaille à l’hôpital de Nanterre depuis trente ans. La chirurgie de la main l’a naturellement conduite vers la prise en charge des souffrances mentales. «On voyait des gens opérés revenir au bout de quelques mois. Ils étaient dans une usure physique et morale effrayante à regarder.»Marie Pezé se forge vite son idée : c’est en retournant au travail qu’ils ont lâché prise. Au milieu des années 90, elle décide qu’elle s’occupera de ça, désormais : faire parler ceux que le travail a déchirés pour les aider à comprendre l’enchaînement fatal. Elle est une des premières en France à créer une consultation sur la souffrance au travail.

    Source

      en savoir plus

     

     

     


    Un entretien, ça peut faire souffrir. La psychanalyste Marie Pezé nous explique, entre autres, combien l'entretien annuel d'évaluation est déstabilisateur. Elle tire aussi à boulets rouges sur les entretien de groupe où l'objectif est de dégommer son voisin.

     

     

    Une passionnante série documentaire ausculte des entreprises

     

     

      








    souffrance au travail
    LA SOUFFRANCE AU TRAVAIL EN CHIFFRES*

     En dix ans, les troubles musculo-squelettiques sont passés de 1 000 à 35 000 par an.
     En 2005, il y a eu 760 000 accidents du travail en France. Deux personnes par jour meurent dans des accidents du travail.
     Deux millions de salariés subissent du harcèlement mental et des maltraitances, 500 000 sont victimes de harcèlements sexuels.
     Le coût annuel des accidents du travail, des maladies professionnelles et de la maltraitance s’élève à 70 milliards d’euros pour l’état et les entreprises.
     Sur 5 ans, on a constaté plus de 1 000 tentatives de suicide sur les lieux de travail en France dont 47 % ont été suivies de décès.
     10 % des dépenses de la sécurité sociale sont directement liées aux maladies professionnelles.
     Eczéma, insomnies, alertes cardiaques, troubles musculo-squelettiques, ulcères, cancers, dépressions, tentatives de suicide sont les conséquences les plus fréquentes des maltraitances sur les lieux de travail.
     Durant la dernière année juridictionnelle, les tribunaux des prud ' hommes ont traité 250 000 litiges.
    *Chiffres fournis par le ministère du travail
    Sans-titre-copie-1.png

    Adam

    2 commentaires
  • Escroquerie à la clinique : un médecin insémine des centaines de femmes avec son propre sperme

      240-sperme.jpg

     

    "Le mystérieux masturbateur". Tel est le surnom donné à Bertold Wiesner par un de ses enfants, Barry Stevens. Ce biologiste anglo-autrichien aurait inséminé des centaines de femmes avec son propre sperme, pendant des années. Il pourrait aujourd'hui être le père biologique de 600 enfants.

    C'est dans les années 1940 que Bertold Wiesner et son épouse Mary Barton décident de fonder une clinique spécialisée dans le traitement de l'infertilité, la London Barton. Pendant plus de vingt ans, ils aident des couples à avoir des enfants. Jusqu'ici, rien d'étonnant. Là où les choses se compliquent, et deviennent même illégales, c'est lorsqu'on apprend que le scientifique inséminait ses patientes avec son sperme. L'acte aurait concerné une vingtaine de donations par an entre 1940 et 1960. Et des analyses ADN réalisées sur 18 personnes nées dans cette clinique londonienne révèlent que deux tiers d'entre elles ont pour père biologique Bertold Wiesner. David Gollancz, autre fils biologique du médecin, a estimé qu'il pourrait avoir quelques 600 frères et soeurs. Une hypothèse jugée plausible par Allan Pacey, expert en fertilité masculine à l’Université de Sheffield et directeur de la British Fertility Society. D'autres scientifiques ont même indiqué que ce nombre pourrait atteindre le millier d'enfants.

    Aujourd'hui décédé, Bertold Wiesner laisse derrière lui une longue descendance... très à risque sur le plan génétique si ses enfants venaient à se mettre en couple et à fonder une famille.

    http://sante.planet.f

     

     

    branleur.jpg

     

     


    8 commentaires