• M.Brisson n'a pas digéré la bronca qui à accueilli la candidat Sarkösy à Bayonne.

      MedefSousPref1-abf05b37a7.JPG

     

     

     

    L'opération "Dégage Sarkozy" menée depuis plusieurs semaines à Bayonne par le collectif altermondialiste Bizi commence à agacer l'UMP du Pays Basque.

    Un panneau géant décoré du slogan "Dégage Sarkozy, milesker Baiona!" et mettant en scène une personne éjectant le Président, a été installé au centre-ville de Bayonne ce samedi 14 avril, à l'occasion du derby basque. Des centaines de supporters ont ainsi pu se faire prendre en photo en train de botter les fesses d'un Nicolas Sarkozy s'envolant dans les airs.

    A midi et quart, quatre véhicules de police et près d’une vingtaine de policiers sont arrivés sur les lieux et ont tenté d'arrêter certains des militants de Bizi, et à en contrôler d'autres. Les membres de Bizi présents ont refusé de démonter le panneau, malgré les menaces des officiers de police disant aux militants qu’ils tombaient sous le coup d'un délit d'"Offense au Chef de l'Etat".

    Alors que la police avait enfermé un des militants arrêtés dans un des fourgons et s'apprêtaient à l'embarquer au commissariat, une foule s'est interposée devant le fourgon, l'empêchant de démarrer et criant aux policiers "Liberté d'expression! Démocratie!" et "Libérez notre camarade !".

    La police a finalement libéré le militant arrêté et est repartie en laissant le panneau en place.

    Cette nouvelle action Bizi n'a pas été du goût de l'UMP. Max Brisson, le secrétaire départemental de l'UMP, a tenu à réagir "avec la plus grande vigueur à la campagne de dénigrement systématique, virant souvent à l'outrage, menée par l'association Bizi contre le Président de la république, candidat à sa succession".

    "Que l'association Bizi pratique depuis plusieurs semaines des opérations de cette nature permet de révéler son vrai visage : celui de l'extrême gauche dont les discours et les pratiques sont finalement très proches de celle de l'extrême droite et très loin des règles d'une démocratie apaisée et respectueuse des idées de chacun," a-t-il dénoncé ce lundi dans un communiqué.

    Max Brisson va plus loin encore et accuse l'association d'être "tout sauf une association écologique agissant pour la défense de l'environnement avec un esprit potache qui a pu la faire apparaitre comme sympathique. Ce temps est loin, Bizi est tout sauf sympathique."

    Un nouveau rendez-vous de la campagne "Dégage Sarkozy Milesker Baiona !" est fixé au samedi 21 avril à 11H00 devant les Halles de Bayonne.

    Une manifestation sur le même thème est également convoquée le mardi 1er mai à 11H00 à Bayonne et un grand pot de départ à Nicolas Sarkozy est annoncé le dimanche 6 mai dès 18H00 dans le Petit Bayonne, le village qui, selon Bizi, "résiste encore et toujours à ceux qui traite ses habitants de voyous et de terroristes...".

     

    Lettre ouverte de Bizi ! à Max Brisson, Secrétaire départemental de l’UMP

      Vous vous êtes durement répandu contre nous à travers toute la presse locale. Vous nous reprochez de « dénigrer systématiquement le Président de la République » M. Nicolas Sarkozy, révélant ainsi notre vrai visage « celui de l’extrême gauche » bref tout sauf une sympathique association écologique à l’esprit potache.


      Comme Bizi entend bien continuer sa campagne « Dégage Sarkozy Milesker Baiona ! » dans les jours et les semaines qui viennent, et que nous ne voulons à aucun prix que cela puisse provoquer chez vous le moindre ulcère d’estomac ou pic de tension artérielle , nous voudrions par cette lettre ouverte vous permettre de relativiser certaines choses :
     
    Pour lire la suite, cliquer ici (…)

     

     

    alda-blog-banner-ona.gif


    Txetx Etcheverry, un des animateurs du mouvement Bizi, est à son tour convoqué pour audition dans le cadre de l'enquête sur un présumé délit d'Offense à Chef de l'Etat ce vendredi 20 avril à 10H30 au commissariat de Bayonne

     

    Campagne Dégage Sarkozy milesker Baiona

     

      Action samedi 28 avril

     

    Sources : http://www.bizimugi.eu/   ,  Le kiosque aux canards


    2 commentaires
  • arte

    Peter Callesen


    anges.jpg

     

     

     

    Peter Callesen est un sculpteur danois de 40 ans qui travaille sur du… papier.

    Ne souriez pas trop vite. Une fois que vous aurez vu ce qu’il fait, vous serez admiratifs. La plupart de ses œuvres sont créées avec du papier A4, le type de papier qui traine probablement à coté de votre imprimante…

    Incarnation d’abord de l’imaginaire poétique et effrayant des contes de fées : faune, flore, châteaux enchantés et cercueils de Belle au Bois Dormant. Ces motifs ne sont pas sans lien avec la forme artistique de la Vanité, et son cortège de crânes et de squelettes. « Memento Mori » nous disent les frêles sculptures de Peter Callesen.

    Voici une sélection de ses œuvres:

    Peter-Callesen-The-Painter-1-copie-1

      Peter-Callesen-The-Painter2.png

     

    Peter-Callesen-The-Painter-3.png

     

    Peter-Callesen-The-Painter-4

     

    Peter-Callesen-The-Painter-6.png

     

    Peter-Callesen-The-Painter5.png

     

    Peter-Callesen-The-Painter7.png

     

     


    10 commentaires
  • 12 profils de collègues à bannir des amis Facebook.

    Ajouter à mes amis

     

     Accueillir des voisins de bureau dans son cercle privé, même virtuel et malgré l'existence de filtres, n'est pas sans risque. Votre vie privée leur est en partie exposée et leur comportement en ligne peut agacer. Découvrez 12 profils de collègues à bannir du réseau social.

     

    collegues-amis-facebook-

    La commère 
    Dans le monde bien réel du bureau, elle colporte les rumeurs au sujet de la carrière, des activités professionnelles ou de la vie personnelle de toute l'entreprise. Dites-vous qu'en acceptant la commère de service comme amis sur Facebook, vous lui donnez les clefs de votre cercle de relations, que ne restera pas intime très longtemps.
    Une simple photo lui permet de raconter votre week-end à la machine à café, un commentaire ambigu lui suffit pour lancer une rumeur sur votre vie privée. Si vous rechignez à étaler votre vie au travail, ne donnez pas l'occasion à la personne la plus bavarde de le faire à votre place. Vous pourriez vous en mordre les doigts.

    Le chef 
    C'est la situation la plus évidente, le cas d'école. Pourtant, de nombreux salariés comptent leur responsable hiérarchique au milieu de leurs "amis" sur Facebook. Par manque de prudence, par sincère proximité ou par obligation d'accepter l'invitation, ils se retrouvent à partager leur "mur" avec leur boss.
    Malheureusement, malgré ses qualités, il reste votre supérieur. Même inconsciemment, il peut prendre en compte ce que vous lui donnez à lire : une journée difficile, une humeur maussade ou des vacances (très) attendues. Bon nombre de commentaires postés sur Internet peuvent être librement interprétés. Les vôtres comme ceux de vos amis.

    facebook04.png

    Le rival
    En acceptant un collègue comme ami sur Facebook, vous lui donnez accès à une mine d'informations sur vous et votre vie en dehors de l'entreprise. Et ce même si vous vous révélez peu disert sur le réseau social. Les commentaires d'amis, les photos où vous apparaissez et même les heures où vous vous connectez en disent long sur vous.
    Quelqu'un de mal attentionné pourrait se servir à vos dépens de toutes ces petites choses. Un rival particulièrement machiavélique, par exemple, peut tenter de vous remplacer à une réunion importante de bon matin, s'il explique à votre chef que vous aviez une soirée la veille.

    Le Facebook addict
    Pour ce collègue, Facebook est une drogue. Connecté en permanence, il n'arrête pas de rédiger des commentaires, de publier des photos ou de poster des vidéos. Mais son activité frénétique sur le réseau ne s'arrête pas là.
    Non content d'avoir un mur qui évolue toute les 5 minutes, il se fixe comme objectif de commenter chaque publications de ses 456 amis. Si vous entrez en relation avec ce type d'utilisateur du réseau social, vous prenez le risque de le voir intervenir à tout bout de champ, même au milieu des conversations qui ne le regardent pas. Problème : vous ne découvrirez ce genre de comportement qu'une fois connecté avec lui..

    .Le bourreau de travail
    Pour lui, le travail c'est la santé. Au bureau, il ne prend jamais de pause et son déjeuner se résume généralement à un sandwich englouti face à un fichier Excel. Ce collègue ne semble jamais cesser de travailler, sauf quand il dort. Et encore, il est capable de vous envoyer des e-mails au beau milieu de la nuit.
    Malheureusement, ce bourreau de travail juge bien souvent ses collègues à la masse de travail abattu. Résultat : votre message posté sur votre mur Facebook à 15h12, alors que vous étiez sagement assis à votre bureau, risque de porter un coup fatal à votre image à ses yeux. Votre seule chance : qu'il ne trouve pas le temps d'aller sur Facebook.

    Le bavard encombrant
    Lorsque l'on intègre un collègue parmi ses amis sur Facebook, on se pose généralement la question suivante : "Ai-je envie de partager mes informations privées avec lui ?" On se pose moins souvent la question : "Ai-je envie de connaitre les informations privées le concernant ?". Inintéressants, vulgaires ou intimes, les propos de certaines de nos connaissances nous font parfois regretter de les avoir acceptées dans notre cercle d'amis.
    La question se pose avec encore plus d'acuité dans le monde professionnel. Vous n'avez pas forcément envie de tout connaitre de la vie privée de votre responsable RH ni de supporter les coups de gueule du commercial qui utilise le réseau social comme défouloir.
    facebouk01.png
    Le GO coporate
    Autant il peut être agréable de côtoyer des collègues dynamiques qui donnent de l'énergie au travail, autant l'enthousiasme d'un collaborateur trop impliqué dans la vie de l'entreprise peut parfois sembler déplacé sur la Toiletoile, surtout dans un réseau social grand public.
    De même que l'on ne souhaite pas nécessairement mettre les conversations entre amis sous les yeux de ses collègues, on n'a pas nécessairement envie de voir sa vie professionnelle étalée au grand jour. Or, ce collègue utra-corporate aime vous tagger sur la photo prise pendant le séminaire et rappeler dans tous ses commentaires la fierté d'appartenance à votre entreprise. Ce qui peut vite lasser...

    Le subordonné
    Liens hiérarchiques et amitié ne font pas toujours bon ménage. S'il est assez aisé de comprendre en quoi la présence de son N+1 parmi ses son réseaux d'amis peut se révéler embarrassante, devenir l'ami de l'un des membres de son équipe pose aussi d'épineuses questions.
    Entrer en relation avec un subordonné dans le cadre d'un réseau social non professionnel peut d'abord susciter des jalousies au sein de l'équipe. Surtout, cela déplace la relation hiérarchique vers l'amitié et peut affecter la relation quotidienne entre un collaborateur et son responsable. Le subordonné qui a accès à certaines informations privées peut avoir du mal à conserver la distance avec son responsable malgré lien hiérarchique. Le management peut s'en retrouver compliqué.

    Le partenaire commercial
    C'est votre client, votre fournisseur ou votre prestataire. Comme vous vous entendez bien avec lui, vous comptez l'accepter au sein de vos amis sur Facebook. Prenez quand même le temps d'en mesurer les conséquences.
    D'abord, si vous êtes déjà en contact avec certains de vos collègues sur le réseau social, vous donnez à voir des discussions internes à l'entreprises à une personne qui n'en fait pas partie mais qui s'y intéresse. Surtout, la mise en relation, même virtuelle, entre deux personnes renforce inévitablement l'intimité qui les lie. On en vient à connaitre certains éléments de la vie privée jusqu'ici inaccessibles. Est-ce vraiment idéal de négocier avec un partenaire dont on se sent proche ?

     

    Celui qui demande toujours de l'aide
    Au bureau, il vient déjà vous déranger pour un oui ou pour un non. Sur Facebook, cela risque de s'empirer. Ce genre d'internaute à tendance à considérer le réseau social comme un vaste espace pour crier à l'aide.
    Surtout, sur Facebook, ses SOS débordent largement le cadre du travail. Il vous interpellera pour emprunter votre voiture le week-end ou pour l'aider à repeindre son salon. A côté, ses questions quotidiennes sur le fonctionnement de l'imprimante ou ses demandes de coup de main pour la rédaction d'un dossier vous paraitront agréables.

    Le vantard
    Sur Facebook, ce collègue passe son temps à se mettre en valeur, à vanter ses mérites, à glorifier ses œuvres. Ses photos "toujours retouchées" le mettent en valeur et ses commentaires rendent compte de ses succès. Ce type de comportement se révèle rapidement pénible.
    Pourtant, vous auriez pu vous en douter avant même de l'accepter comme ami. Au bureau, déjà, il fait largement état de ses ambitions et jouent des coudes pour obtenir les meilleures places. Son égo surdimensionné n'échappe à personne dans l'entreprise. Pourquoi l'inviter sur votre mur ?

    Le fainéant
    Son poil dans la main peut transformer une collaboration professionnelle en véritable chemin de croix. Mais tant que l'on ne travaille pas directement avec lui, ce collègue un peu fainéant peut se révéler particulièrement agréable à côtoyer. Alors, pourquoi ne pas en faire un ami sur Facebook ?
    Peut-être, justement, parce que son manque d'entrain risque de se voir sur le réseau social. Alors qu'il est supposé travailler sur un dossier dont vous avez besoin, vous observez qu'il a battu un nouveau record
    Dans certaines situations, accepter ses collègues sur Facebook peut poser problème. Cependant, ceux qui désirent conserver leurs voisins de bureau sur le réseau social peuvent tout à fait y créer des listes d'amis, afin de protéger leur vie privée sans se montrer sélectifs lors du choix de leurs contacts. En créant, par exemple, une liste "Collègues", vous pourrez attribuer aux personnes qui en font partie un accès limité à certaines informations.

    Source : journaldunet.com
    Facebook t
      Gardez les pieds sur terre..

    votre commentaire
  •   Que du bonheur..........................

     

     

     

     

     

     

     

    8 commentaires