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    blonde-1.jpg Regardez bien le gars à gauche, il est éclaté ! C’est complètement barje mais ça détend...

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  • Mélenchon sur BFMTV : rassemblement contre Sarkozy le 4 mai à Paris

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      - Jéremy Brossard

    Interrogé par BFMTV, l'ancien candidat à la présidentielle, Jean-Luc Mélenchon a annoncé organiser un rassemblement contre Nicolas Sarkozy le vendredi 4 mai place Stalingrad à Paris.

     

     

    Le Front de gauche organise un meeting le 4 mai à Paris "pour battre Nicolas Sarkozy", a-t-il indiqué à l'issue d'une réunion au siège du PCF à Paris, place du Colonel Fabien, en présence de Jean-Luc Mélenchon du Parti de gauche et de Pierre Laurent duPCF.

    "On sera rassemblés le 4 mai sur nos propres objectifs, nos propres revendications pour le lendemain aller voter Hollande contre Sarkozy", a annoncé sur BFMTV Jean-Luc Mélenchon.

    A deux jours du deuxième tour, le meeting qui sera conclu par le candidat, devrait "vraisemblablement" se tenir Place Stalingrad, là où le candidat du FG avait tenu son premier meeting de campagne en juin dernier et sa soirée électorale de premier tour le 22 avril, a précisé à l'AFP Eric Coquerel, conseiller de M. Mélenchon, affirmant que cela reste à caler.

    Ce meeting servira à "appeler à battre Sarkozy et à se mobiliser pour continuer à porter notre programme, L'Humain d'abord, aux législatives" qui suivent en juin, a-t-il dit.

    D'ici le 4 mai, le FG lance également un "appel à se mobiliser derrière les syndicats le 1er mai à partir du moment où Nicolas Sarkozy et Marine Le Pen en font un enjeu d'affrontement social", a-t-il ajouté.

    "Ce jour-là c'est un jour de bras de fer, on va faire du judo. Puisque Sarkozy a décidé de chercher la châtaigne avec les syndicats et bien il va nous trouver sur son chemin", a souligné M. Mélenchon.

    De plus, partout en France dans l'entre-deux-tours, se tiendront des réunions publiques de mobilisation du FG pour que la gauche l'emporte le 6 mai.

    Selon M. Coquerel, le Front de gauche, fort des 11,1% de M. Mélenchon au premier tour de la présidentielle, est devenu "une nouvelle force incontournable pour battre Sarkozy". "La clef du 2e tour c'est notre électorat", a-t-il ajouté.

     

    Sources : Le Papy, BFM.TV


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  • Législatives : comment Marine Le Pen veut casser la droite.


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    Marine Le Pen se rêve en chef de l'opposition face à Hollande. Cela passe par la défaite de Sarkozy. Et un bon score du FN aux législatives en juin.

    Dix ans après le fameux 21 avril qui avait vu la qualification de son père pour le second tour, Marine Le Pen a réussi une grande partie de son pari : bousculer à nouveau le paysage politique. Elle n'est certes pas qualifiée pour la suite, elle n'a pas non plus atteint les 20% que lui promettaient les sondages en début de campagne. Mais ses 17,9%, le meilleur score jamais enregistré par son parti à la présidentielle, sont un nouveau tremblement de terre. Le FN, que Nicolas Sarkozy se targuait d'"avoir tué" en 2007 et que Jean-Luc Mélenchon pensait avoir "grippé" ces derniers mois, est bel et bien de retour ! […]

    Marine Le Pen peut maintenant rêver à l'étape suivante : faire du FN une force incontournable dans une recomposition possible de la droite. A tel point qu'elle se rêve désormais en chef de l'opposition à François Hollande. Un scénario qui passe par la défaite du président sortant le 6 mai. Au Front national, personne n'en doute : "Sarkozy est fini !"

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      "Quand on a un adversaire sous la semelle, il faut appuyer dessus."

     

    Marine Le Pen attend avec impatience l'inévitable guerre des chefs qui s'en suivra, selon elle, entre Copé, Juppé et Fillon qu'elle surnomme "Casper", le gentil fantôme. Pour elle, la maison UMP est trop fragile pour résister : "C'est une auberge espagnole : il y a de tout là-dedans. Des pro-européens, des anti-européens, des laïques, des non-laïques !", assure Louis Aliot, numéro 2 du Front et ancien rugbyman, bien décidé à mettre la pression. "Quand on a un adversaire sous la semelle, il faut appuyer dess

    Marine Le Pen attend avec impatience l'inévitable guerre des chefs qui s'en suivra, selon elle, entre Copé, Juppé et Fillon qu'elle surnomme "Casper", le gentil fantôme. Pour elle, la maison UMP est trop fragile pour résister : "C'est une auberge espagnole : il y a de tout là-dedans. Des pro-européens, des anti-européens, des laïques, des non-laïques !", assure Louis Aliot, numéro 2 du Front et ancien rugbyman, bien décidé à mettre la pression." Quand on à un adversaire sous la semelle, il faut appuyer dessus"

    Pour y parvenir, la présidente du FN, qui aime à souligner son "taux de sympathie très important dans l'électorat UMP, mise sur les élus de terrain tentés de rompre le cordon sanitaire imposé par la direction de leur parti. Le ton a déjà changé, note-t-elle. Lorsque ses cadres se démenaient pour obtenir des signatures de maires, ils ont souvent trouvé face à eux des élus locaux de droite qui laissaient une porte ouverte pour l'avenir, tout en refusant leur parrainage. Dans le Morbihan, un député de la majorité était même prêt à rabattre trente signatures à condition de ne pas avoir de candidat FN face à lui...

    Autre cible de Marine Le Pen : les souverainistes, ex-Villiers ou Dupont-Aignan, tentés par son "rassemblement bleu Marine". Pour l'heure, seuls quelques-uns ont franchi le pas dans l'orbite de Paul-Marie Coûteaux. Maigre butin, alors même que le parti manque cruellement de cadres.

         "Si on fait 15-16% aux législatives…"

    Dans sa manche, la candidate estime avoir désormais une arme de dissuasion : les prochaines législatives. "Si on fait 15-16% en juin, on envoie plus d'une centaine de députés au tapis", pronostiquait un de ses lieutenants avant le premier tour. De quoi susciter quelques accords locaux avec l'UMP ? Jean-Marie Le Pen ne l'exclut pas : "Par le passé, ce n'est pas nous qui les avons refusés, c'est le RPR et l'UDF. Quand le vent souffle et change de direction, les girouettes suivent."

    Mais sa fille n'a jusqu'ici pas défendu cette ligne : pour elle, il ne peut s'agir que de ralliements autour d'un FN devenu pôle central. "La fameuse recomposition n'aura pas lieu tout de suite, glisse un de ses proches. Ca va être le fiasco pour l'UMP aux législatives, et ensuite ça viendra." Dans un parti rebaptisé ? La fille ne l'écarte pas, mais le président d'honneur veille : "On change de nom quand on perd, pas quand on gagne."

    Marine Le Pen court cependant un risque : que le FN ne transforme pas l'essai en juin. Aux dernières cantonales, son parti, qui avait qualifié 400 candidats au second tour, n'a eu au final que deux élus. Même si le FN se retrouve aujourd'hui en position de force dans de nombreux bastions du Nord-Est ou de Paca, il n'est pas sûr qu'il parvienne à faire élire beaucoup plus de députés tant qu'une dose de proportionnelle ne sera pas instaurée.

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       Marine Le Pen prête à ferrailler au Palais-Bourbon

    A 43 ans, la fille Le Pen, qui rêve de prendre le pouvoir et vient d'acquérir un beau capital de voix à l'issue de sa première campagne présidentielle, a le temps d'attendre. Quelques jours avant le premier tour, elle a fait un check-up de santé complet pour obtenir son prêt bancaire. Bilan ? Forme excellente. D'où cet avertissement lancé en riant aux journalistes : "Vous m'avez sur le dos pendant soixante ans !"

     

    Sources : Le Papy Mouzeot,Nouvelobs.

     

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  • Pour Sarközy, la perspective d'un troisième tour judiciaire.

    Takhiedine parle, et si De Maistre sort de prison, il parlera sans doute aussi !!!

     

    Bon ! on a de beaux jours qui se préparent .

    Y'a d'la rumba dans l'air !!

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    par Thierry Lévêque

    PARIS (Reuters) - En cas de défaite le 6 mai prochain, Nicolas Sarkozy risque d'être convoqué par les juges dans au moins deux dossiers visant de supposées malversations financières qui ont troublé l'exercice de son mandat et où les investigations progressent.

    Le président sortant, qui a bénéficié durant cinq ans d'une immunité pénale liée à son statut, redeviendra un justiciable ordinaire un mois après la fin de ses fonctions, soit vers la mi-juin, s'il perd le second tour, stipule la Constitution.

    Les deux dossiers dans lesquels il pourrait être mis en cause visent un éventuel abus de faiblesse sur l'héritière de L'Oréal Liliane Bettencourt et une supposée corruption en marge de la présidentielle de 1995 - l'affaire "Karachi".

    Fait plutôt rare en période électorale, les enquêtes n'ont pas été interrompues et les instructions arrivent même dans une phase cruciale.

    Dans l'affaire Bettencourt, l'ex-gestionnaire de fortune de la milliardaire Patrice de Maistre, écroué depuis le 23 mars, a demandé mardi sa remise en liberté à Bordeaux.

    Dans l'affaire Karachi, l'homme d'affaires franco-libanais Ziad Takieddine a été à nouveau interrogé par le juge Renaud Van Ruymbeke, sur fond de nouvelles découvertes. Il a mis en cause mardi Nicolas Sarkozy devant la presse.

    Le président sortant peut craindre que ces affaires le rattrapent car, pour la première fois dans l'histoire de la République, un ancien chef d'Etat, Jacques Chirac, a été condamné pénalement le 15 décembre 2011 à deux ans de prison avec sursis pour des faits remontant aux années 1990, quand il était maire de Paris.

    Cette décision, par laquelle le tribunal de Paris a rappelé "l'obligation de probité qui pèse sur les personnes publiques", a marqué une étape dans la longue histoire des "affaires".

    LE PROBLÈME DE LA CJR

    Nicolas Sarkozy a été vivement attaqué pendant la campagne, notamment par l'écologiste Eva Joly.

    Elle avait qualifié d'"anomalie" le fait de "pouvoir solliciter un deuxième mandat lorsque vous êtes cerné par des affaires judiciaires et dans lesquelles vous ne vous expliquez-pas", avait-elle déclaré sur France 2.

    Nicolas Sarkozy a fait part de son "mépris" envers ces accusations et s'est dit victime de manoeuvres politiques visant à le discréditer.

    Dans le dossier Bettencourt, des retraits en espèces sur la fortune de l'héritière visant à financer frauduleusement la campagne Sarkozy en 2007 sont soupçonnés. Le président sortant parle de "ragots" et rejette les accusations.

    Le juge Jean-Michel Gentil a déjà poussé l'enquête dans sa direction, saisissant ses comptes de campagne 2007, des agendas des Bettencourt montrant une possible visite de l'actuel président pendant la période de la campagne 2007, ainsi qu'un journal intime du photographe François-Marie Banier prêtant ces mots à Liliane Bettencourt en 2007 : "De Maistre m'a dit que Sarkozy avait encore demandé de l'argent."

    Une audition, voire une mise en examen, paraissent juridiquement inéluctables en cas de défaite.

    L'affaire Karachi est plus compliquée, car si le nom de Nicolas Sarkozy apparaît bien dans le dossier d'enquête, c'est en qualité de ministre du Budget (1993-1995), fonction dans laquelle il aurait selon un rapport de la police luxembourgeoise approuvé la création de structures off-shore au Grand-Duché.

    L'hypothèse des juges est qu'elles ont servi au détournement partiel, à des fins de financement politique frauduleux, de commissions légales convenues en marge de la vente de sous-marins au Pakistan (84 millions d'euros) et de frégates à l'Arabie saoudite (200 millions d'euros) dans les années 1990.

    Nicolas Sarkozy nie tout rôle dans la création de structures off-shore et, à propos d'un éventuel lien entre les commissions et l'attentat, il a parlé de "fable".

    "Il ne sortira rien de tout cela et tout le monde le sait", a-t-il dit en octobre 2011 sur TF1 et France 2.

    Une audition comme témoin par les juges est possible, mais des poursuites semblent exclusivement relever de la Cour de justice de la République (CJR), seule institution compétente pour les actes ministériels. Le candidat socialiste François Hollande propose toutefois de la supprimer et de déférer les ministres devant les juridictions ordinaires.

    Cet éventuel "troisième tour judiciaire" se déroulerait dans un climat de rancoeur dans la magistrature, qui lui reproche une série de lois pénales et une supposée tentative de mise sous l'éteignoir des enquêtes, notamment dans les affaires Karachi et Bettencourt.

    Suite à ces problèmes, le candidat PS comme Nicolas Sarkozy proposent tous deux de changer le statut du parquet pour le rendre plus indépendant, et François Hollande avance aussi l'idée d'un changement du statut pénal du chef de l'Etat.

     

    Source : Le Papy Mouzeot,Nouvelobs.

     


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