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    Un dégagement de vapeur a fait deux blessés légers  dans la centrale nucléaire de Fessenheim (Haut-Rhin), mais le gouvernement comme EDF ont minimisé la portée de cet incident.

    Survenu mercredi 05/08 vers 15 heures, l’incident de nature chimique a provoqué l’intervention d’une cinquantaine de pompiers après le déclenchement de systèmes d’incendie de la centrale. Mais il n’y a eu aucun incendie

    " C’est un accident du travail, pas un accident nucléaire ", et " il n’y a pas d’impact environnemental ", a souligné le directeur de la centrale, Thierry Rosso, lors d’une conférence de presse téléphonique organisée par EDF.

    Un porte-parole du groupe a fait état de deux agents " légèrement brûlés à travers leurs gants ", suite à un incident lié à la manipulation d’un produit chimique, et non à un incendie.

    Les deux salariés " ont simplement une irritation sur les doigts ", a nuancé M. Rosso. " Huit autres salariés ont subi des contrôles préventifs parce qu’ils se trouvaient dans la zone ", a-t-il ajouté.

    L’incident a été provoqué lors d’une manutention d’eau oxygénée, dans le cadre de manœuvres d’exploitation courantes liées au traitement d’eaux usées, a expliqué EDF. Il s’est produit dans un bâtiment auxiliaire situé près des deux réacteurs nucléaires de la centrale, mais pas à l’intérieur de ceux-ci, a-t-il précisé.

    Le gouvernement a lui aussi rapidement minimisé la portée de l’événement. La ministre de l’Ecologie, Delphine Batho, " s’est immédiatement entretenue avec l’Autorité de sûreté nucléaire qui lui a confirmé que cet incident est sans enjeu de sûreté ", a souligné son ministère.

    Le représentant de la CGT dans la centrale a quant à lui estimé que l’événement n’était " pas si grave ".

     

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    Fessenheim est dans le collimateur des écologistes et de nombreux élus. Photo AFP


     France 5 a passé il y a peu le documentaire "Nucléaire : la Bombe Humaine" où des salariés témoignent des conditions de travail, de leur formation, du temps imparti pour réaliser leurs taches, et le recrutement, l'interim, etc etc... Et les autorités qui se veulent super rassurantes... Le pire c'est que ça arrive très souvent... Tricastin, combien de fuites? et les autres? Et tout ce qu'on sait pas?   Allez, c'est pas grave, c'est vraiment rien... "ne vous inquiétez pas, tout va bien"!!!!!!


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    Nouvelle descente du Curiosity : encore mieux que la précédente version qui était déjà mieux que l’orignal. (Vidéo)

    Vous vous souvenez sans doute,  de cet étonnant point de vue animé de l’atterrissage sur Mars du véhicule Curiosity, capturé par la caméra MARDI (située en dessous de la sonde spatiale)


    Et bien aujourd’hui nous pouvons avoir encore mieux, avec la meilleure vidéo disponible du Curiosity, accélérant vers la surface de Mars. L’aspect lisse et sa fluidité rendent cette vidéo si particulière. Son réalisateur, Dominic Muller, a utilisé les images sources qui ont été utilisées pour le grossier (mais néanmoins fabuleux) collage d’images RAW, nous présentant, en premier lieu, une vidéo saccadée à 4 images par secondes de la descente. Il a donc interpolé ces images pour en faire une vidéo en haute définition de 25 images par seconde (pratiquement fluide pour l’oeil humain).

     

    Pensez à activer la haute définition via les options du lecteur  
    Ce processus d’interpolation créé des images interstitielles qui n’existaient pas auparavant, en calculant ce "qui devrait" se trouver présent. Muller a aussi l’air d’avoir élevé le contraste et enrichis les quelques tons marron. Cette vidéo utilise quelques arrangements, mais elle procure une plus véritable et dramatique sensation de descente vers la planète Mars.

     

    GuruMeditation

     

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    Depuis l'interdiction de fumer dans les lieux publics, les cigarettes électroniques grappillent des parts de marché aux géants de l'industrie du tabac. Un million de Français auraient déjà testé cette cigarette en plastique et 500.000 l'utiliseraient au quotidien.

    http://img15.hostingpics.net/pics/780317fumerdslieupublic.jpgLa France compte de plus en plus de "vapoteurs" ou utilisateurs d'e-cigarette. C'est en tout cas ce qu'affirment les principaux fabricants de l'Hexagone. D'après eux, près d'un million de Français aurait déjà testé la cigarette électronique qui ne contient pas de tabac. Ils seraient même 500.000 à l'utiliser quotidiennement. Le succès de l'objet trouve ses racines dans son apparence. L'e-cigarette ressemble comme deux gouttes d'eau à une cigarette classique: d'un côté, une partie blanche et, de l'autre, un filtre orange. À une extrémité, une diode simule visuellement la combustion. De l'autre, une vapeur est propulsée au moment de l'aspiration et inhalée par l'utilisateur. Cette "fumée" provient d'un liquide parfumé d'arômes alimentaires, parfois de glycérol et de nicotine.

     


    Le principal argument de vente est financier: "Les clients sont des fumeurs qui veulent fumer sainement et économiquement, ils se tournent vers l'e-cigarette en raison de la hausse régulière du prix du paquet classique. Une e-cigarette est vendue entre 9 et 11 euros et correspond à l'équivalent en consommation de deux paquets et demi. À titre de comparaison un paquet traditionnel de 20 unités coûte un peu plus de 6 euros aujourd'hui", affirme une porte-parole de Cigartex, l'un des premiers fabricants à s'être lancé en France. Le marché connaît d'ailleurs un véritable boom depuis 2010, année durant laquelle le prix du paquet de cigarettes a augmenté de 6%. La nouvelle hausse des prix prévue en octobre devrait à ce titre encore jouer en faveur du secteur.
    L'e-cigarette séduit également les fumeurs qui veulent arrêter le tabac. Elle apporte la gestuelle à ceux qui ne peuvent se contenter des patchs ou des gommes à mâcher. D'après les fabricants, l'e-cigarette présente aussi l'avantage d'être utilisable partout, même dans les lieux publics et ne prive pas le fumeur de "ses habitudes sociales", selon Cigartex.

    EdSylver, l'un des leaders du marché français, a vu son chiffre d'affaires bondir à quatre millions d'euros l'an dernier. Cigartex a pour sa part doublé ses revenus sur un an en 2011. Les marges les plus importantes ne sont pas réalisées sur la fabrication des cigarettes, confiée le plus souvent à la Chine, mais sur la vente de liquide aromatisé pour recharger les cartouches. Cette activité devrait dépasser les ventes de cigarettes électroniques "d'ici peu", assure Cigarelec, un autre fabricant, dans les colonnes des Échos .


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    Scanner... cancer du poumon.. par cigarette électronique


    Ce marché en plein développement est renforcé par un large réseau de distribution, résultat d'un flou entourant le statut du produit. La cigarette électronique se vend sur Internet, dans certaines boutiques spécialisées mais aussi chez les buralistes comme simple produit de consommation courante. Mais on la retrouve aussi dans les pharmacies aux côtés d'autres produits permettant d'accompagner l'arrêt du tabac, malgré la recommandation de l'Afssaps qui conseille de ne pas disposer d'e-cigarette dans les rayons. "Il n'existe aucune loi qui interdit la vente en pharmacie. Mais il faut rappeler que la cigarette électronique n'est pas un médicament et qu'elle n'a pas vocation à permettre le sevrage tabagique", précise Cigartex.  

     

     

    "Ça ne touche pas les poumons’

    "Pour l’instant, je n’ai pas le début d’une preuve que c’est bon pour la santé, ni le début d’une preuve que c’est mauvais non plus", explique le docteur Bertrand Dautzenberg, pneumologue interrogé par France 5 à propos de la cigarette électronique. (Extrait du ’Mag de la Santé” de France 5)

    Pas de mercure, pas de goudron et tous les sites spécialisés qui en vendent en ligne affirment sur leur page d’accueil que les 4 000 substances toxiques d’une cigarette traditionnelle n’existent pas dans sa version électronique.

    “Il y a du propylène glycol, des solvants et de la nicotine, cette dernière pouvant notamment entraîner une dépendance chez des personnes qui ne fumaient pas” tempère la com’ de l’Afssaps, qui en mai 2011, a publié un communiqué sur son site. Néanmoins, elle admet ne pas pouvoir évaluer les risques avec exactitude :

    “Nous n’avons pas eu de signalements concernant des complications liées à ce produit. Mais c’est justement parce que nous ne le connaissons pas que nous le déconseillons.”

    Le secteur profite enfin d'un coup de pouce marketing inattendu : celui de nombreuses stars de cinéma, de Leonardo DiCaprio à Johnny Depp en passant par Robert Pattinson, qui se sont affichées récemment e-cigarette à la bouche. 

     

     

    Sources : Les Echos, R89

     

    http://img15.hostingpics.net/pics/743506interditfumer.jpgComme d'hab', c'est à vous de juger...........!!!!



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  • http://img15.hostingpics.net/pics/726325borja530x441.jpg

    HOLY SHIT

    On croit d'abord à un poisson d'avril, puis on se souvient qu'on est en août. Et à moins d'imaginer que le Centre d'études de Borja, dans la province espagnole de Saragosse, soit un pourvoyeur insoupçonné de canulars, force est de constater qu'il s'agit probablement de "la pire restauration" de l'histoire de la peinture, rapporte le Huffington Post. "Un acte inqualifiable", s'étrangle le Centre d'études de Borja, qui a révélé l'affaire sur son blog. "Un travail de cochon", titrait mardi le quotidien El Heraldo de Aragón, qui s'est fait l'écho de ce scandale en Espagne. "Une restauration qui tourne à la destruction", s'insurge El Pais. Un massacre.
    De quoi s'agit-il ? Une peinture murale représentant le Christ, réalisée par Elias Garcia Martinez, peintre espagnol du XIXe siècle, a été "restaurée" par un ou une inconnu visiblement guère à l'aise avec un pinceau dans les mains.

    A gauche, la peinture telle qu'elle était il y a deux ans ; au milieu, la peinture en juillet, quand elle fut photographiée pour un catalogue d'art religieux régional ; à droite, la même après "restauration", telle qu'elle fut découverte par les membres du Centre d'études de Borja le 6 août.

     

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    Que s'est-il passé ? Le blog du Centre d'études évoque un "artiste" dont la famille vit à Borja, sans plus de précisions. El Pais croit savoir qu'il s'agit d'une octogénaire voisine de l'église où se trouve la peinture. Constatant l'état de délabrement de l'œuvre, elle aurait décidé par elle-même d'épargner au Christ les ravages du temps, "pleine de bonnes intentions" mais "sans demander la permission", a précisé au quotidien le conseiller local à la culture, Juan Maria de Ojeda. L'octogénaire aurait alors pris conscience qu'elle avait perdu le contrôle de la situation et se serait confiée aux autorités locales.


    L'affaire a déclenché l'ire de quelques Espagnols, et en a fait sourire beaucoup. Un internaute a ainsi imaginé sur son compte Twitter à quoi pourrait ressembler l'œuvre en 2013, rapporte le Huffington Post.

     

     

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    Source : Le Monde


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