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Par Adam Lepaté le 30 Avril 2012 à 12:06
Le premier mai, c'est la fête des travailleurs qui luttent avec les syndicats pour la défense de leur emploi ! Pour de meilleures conditions de travail et pour des salaires décents etc... Et aujourd'hui, il y a de plus en plus de citoyens qui en sont privés, alors que le travail devrait être le premier des droits !
Ne détournons pas le sens de cette journée, ils'agit bien de la fête des travailleurs et tous méritent notre respect. Il est intolérable de voir que Sarközy passe son temps à tout s'approprier et à dresser les citoyens les uns contre les autres. Il n'y a pas de faux travailleurs et de vrais travailleurs , il y a des travailleurs et des citoyens privés d'emploi parce que dans cette société du profit, le travail n'est plus un droit !!!!!
Bon 1er mai à toutes et à tous.
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Par Adam Lepaté le 29 Avril 2012 à 08:17
Décidément, Nicolas Sarkozy s'est fait beaucoup d'ennemis au cours de son quinquennat:après le SNES FSU, c'est au tour du syndicat de la magistrature de lancer un appel pour battre le président sortant...
Nicolas Sarkozy paie là le prix d'une politique qui n'a cessé de privilégier la division, la discorde : il n'a cessé d'opposer les fonctionnaires considérés comme des "privilegiés" aux travailleurs du privé, il n'a cessé de rendre la justice responsable quand des faits divers marquants se produisaient.... les critiques du syndicat de la magistrature sont très virulentes "un quinquennat marqué par la peur et le rejet de l'autre, entaché par le débat sur l'identité nationale... Nicolas Sarkozy a sans cesse bafoué l'indépendance de la justice, a pratiqué des nominations partisanes de magistrats..."
On reproche aussi à Nicolas Sarkozy d'avoir réagi de manière impulsive à la suite de faits divers... de s'être livré à une politique de l'improvisation dans un domaine rigoureux et strict qui devrait être un sujet de longue réflexion... Des lois étaient alors créees sur le champ sans que les magistrats aient les moyens réels de les appliquer...
Il faut aussi considérer le mépris dans lequel ont été tenus les magistrats au cours de ces 5 dernières années, avec des déclarations qui manquaient de mesure, voire de la plus élémentaire politesse. Les tensions entre le président sortant et le monde judiciaire en particulier remontent à l'époque où le chef de l'Etat était ministre de l'Intérieur. En 2005, après l'assassinat de la joggeuse Nelly Cremel par deux hommes dont l'un est en liberté conditionnelle, il estime que le juge doit « payer pour sa faute ». En 2006, il accuse le tribunal de Bobigny de « laxisme » à l'égard des jeunes délinquants. Et à son arrivée à l'Elysée, en mai 2007, il compare les magistrats à « des petits pois » ayant « la même couleur, le même gabarit et la même absence de saveur ». !!
On peut dire qu'avec le monde judiciaire, N. Sarkozy ne fait pas dans la dentelle... Lors de l'affaire Laetitia Perrais alors que le principal suspect coupable de récidive avait été remis en liberté, il n 'avait pas hésité à mettre en cause le fonctionnement de la justice dans des déclarations tonitruantes « Quand on laisse sortir de prison un individu comme le présumé coupable sans s’assurer qu’il sera suivi par un conseiller d’insertion, c’est une faute », avait-il dénoncé, ajoutant : « Ceux qui ont couvert ou laissé faire seront sanctionnés, c’est la règle. » « quand il y a une faute qui conduit à un tel engrenage, nos compatriotes ne comprendraient pas qu’il n’y ait pas de sanction »
La politique de Nicolas Sarkozy a consisté sans arrêt à désigner des coupables quand des problèmes de dysfonctionnement de la justice se posaient : il aurait dû, sans doute, se remettre en cause lui même au lieu de désigner des boucs émissaires à la vindicte populaire... Quand la justice ne dispose pas de moyens nécessaires pour fonctionner normalement, on a beau jeu de l'accuser de tous les maux...
Par Rosemar/Agoravox
Un grand coup de balai s'impose à la tête de l'état, il sera, espérons le, donné le 6 mai 2012 !
8 commentaires -
Par Adam Lepaté le 24 Avril 2012 à 21:18
Fermeture des bureaux de vote à 20h:
le gouvernement dit non
Le ministère de l'Intérieur a indiqué lundi qu'il "ne suivra(it) pas" la recommandation de la Commission de contrôle de la campagne de fermer tous les bureaux de vote à 20h le 6 mai pour éviter que des médias ne publient des résultats avant l'heure légale
La décision était entre les mains du gouvernement. Il a dit non. Le ministère de l'Intérieur a indiqué lundi qu'il "ne suivra(it) pas" la recommandation de la Commission de contrôle de la campagne de fermer tous les bureaux de vote à 20h le 6 mai pour éviter que des médias ne publient des résultats avant l'heure légale. "On ne change pas les règles du jeu entre deux tours d'une même élection", a souligné le ministère auprès de l'AFP pour expliquer sa position.
Cette mesure était préconisée depuis plusieurs semaines, suite à la crainte de "fuites" d'estimations avant 20h. L'embargo a bel et bien volé en éclats sur des sites d'information et les réseaux sociaux dimanche. Restait donc une solution pour empêcher le phénomène au second tour : fermer tous les bureaux de vote à 20h, car les estimations diffusées provenaient de chiffres récoltés à partir du dépouillement de bureaux de vote de province.fermant leurs portes à 18h. Un problème puisque les électeurs des grandes villes sont autorisés à voter jusqu'à 20h et peuvent donc en théorie prendre connaissance des tendances avant de s'acquitter de leur devoir citoyen
Lundi matin, la Commission de contrôle de la campagne avait recommandé de fermer tous les bureaux de vote à 20h "afin de garantir le droit de chaque électeur à la libre expression de son suffrage". "Il conviendrait par conséquent de modifier l'article 3 du décret du 22 février 2012 portant convocation des électeurs pour l'élection du président de la République", jugeait-elle.
« Imaginez ces malheureux bénévoles qui tiennent les bureaux de vote pendant dix heures. On a déjà du mal à trouver des présidents et scrutateurs dans les petites communes. Que serait-ce pour douze heures ? Cela n’est pas souhaitable du tout. On courrait le risque de bureaux incomplets ou de fraudes. »
Selon le Nouvel Obs.com, la Commission de contrôle de la campagne menace de poursuivre les médias belges et suisses qui diffuseraient les résultats de la présidentielle 2012 dès 18h. "Si une information est diffusée sur le territoire français, alors le média tombe sous le coup de la loi française. Les médias belges et suisses sont susceptibles de poursuites", explique Jacques-Henri Stahl, rapporteur général de la Commission en question, au magazine en ligne.
En France, il est interdit de publier les résultats d'une élection avant 20 heures. En effet, le code électoral prévoit qu'"aucun résultat d'élection, partiel ou définitif, ne peut être communiqué au public par la voie de la presse ou par tout moyen de communication [...]avant la fermeture du dernier bureau de vote", sous peine d'une amende de 3.750 euros.
Soirée spéciale sur la TV belge
Mais cet interdit voit sa portée relativisée par les sites d'information en ligne, établis à l'étranger et qui s'intéressent aussi à l'actualité politique française. Sans parler des réseaux sociaux tels que Facebook ou Twitter sur lesquels la tentation est grande de faire "fuiter" les premiers chiffres de la présidentielle. De France ou d'ailleurs...
Comment alors contrôler les médias francophones étrangers désormais accessibles via Internet ? Interrogés par le Nouvel Obs.com, deux responsables de médias belge et suisse ont relativisé l'annonce du responsable de la Commission, arguant du fait que leurs médias n'étaient absolument pas soumis à la loi française en la matière. Et d'ailleurs, la télévision belge RTBF prévoit en outre d'organiser une soirée consacrée à la présidentielle française de 18h30 à 20h30...
sources : tf1 news,Nouvelobs, Papy météo et sa Papyrodie
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Par Adam Lepaté le 23 Avril 2012 à 23:35
Biscuits Carla et Nicolas: la distribution au QG de l'UMP fait réagir
Mais pourquoi l'UMP en est venue à distribuer des biscuits à l'effigie du couple présidentiel à son QG de campagne? Derrière ce "happening", que l'on qualifiera de peu banal, il y a en fait un coup marketing qui a mal tourné... Explications.
Une élection présidentielle, c'est aussi des coups marketing originaux et audacieux. Comme celui tenté par la marque de desserts et gâteaux Michel et Augustin. Celle-ci a lancé il y a une dizaine de jours une série de biscuits et yaourts à boire spéciale candidats et conjoints à la présidentielle: "Carla et Nicolas", "Valérie et François", "Marine et Louis" etc.
Sauf qu'une partie du grand public a peu goûté cette initiative... Comme le dévoilait L'Express en début de semaine dernière, la marque a été contrainte de retirer du commerce ses "biscuits et yaourts présidentiels", à cause de "scandales sérieux [qui] ont éclaté en magasins"!
Des réactions démesurées ??????
Alors que les créateurs de la marque souhaitaient seulement "donner un peu de peps et de sourire dans une campagne", ils ont essuyé une vague de critiques. "Dans l'un des magasins, un yaourt à boire a été jeté sur les murs. Dans l'autre, un client outré s'est mis à hurler dans le rayon. Même un livreur a été scandalisé de transporter des produits empaquetés à l'effigie de Carla et Nicolas", explique ainsi dépité Augustin,l'un des fondateurs de la marque, interrogé par Côté Maison.
Si certains consommateurs ont pris tout cela au second degré, d'autres y ont donc vu de la moquerie pure et simple. Habituée du "LOL marketing", la marque a réagi avec humour sur son site.
En réactions à ces critiques, la marque, qui se surnomme elle-même "les trublions du goût", a décidé de retirer ses produits de la vente. "Plusieurs scandales sérieux ont éclatés en magasins. Nous sommes un peu dépassés par ces réactions un peu surréalistes. On temporise. C'EST FINI. Toutes nos excuses", peut-on lire sur la page Facebook de Michel et Augustin.
Résultat : la marque se retrouve avec une série d'invendus. "Les stocks vont être offerts aux QG de campagne des différents candidats la semaine prochaine. Pas question de les jeter", assure Augustin. Les stocks restant sont disponibles gratuitement à la Bananeraie, le siège de la marque, pour les collectionneurs.
Sur Twitter, ce buzz a forcément fait réagir des internautes jamais avares en moqueries.
Le HuffPost
Même en biscuits on en veux pas de Sarkö qu'on à dit !!!!!!!!!!!!!
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