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Par Adam Lepaté le 2 Septembre 2012 à 03:55
"L’aluminium est un élément qui n’existe pas dans notre corps. ". C’est ce qu'affirme Docteur Pierre Souvet, médecin et président de Santé et environnement de France , réseau de 2500 médecins Français.
Ce réseau tente désespérément d’alerter les citoyens sur le danger avéré de l’aluminium (neurotoxique, il multiplierait par 2 les risques d'alzheimer) dans l’alimentation, les cosmétiques, les emballages alimentaires. Cet additif s’ajoute au 350 (en France, 800 en Europe) déjà présent dans notre consommation quotidienne, nous les reconnaissons sur les étiquettes sous forme de E 101 par exemple ou sous leur nom scientifique. Si certain sont naturel, comme le sel de mer qui est un exhausteur du goût, d’autres ne sont là que pour « faire joli », exemple des colorants, sorte de rimmel des denrées, les régulateurs de Ph permettant de rendre mangeable se qui ferait vomir un bouc, les conservateurs qui permettent à un aliment ou un plat de garder son apparence fraîche et son goût d’antan durant un laps de temps relativement long, les épaississants, agents de textures, qui donne un aspect soyeux en bouche, et qui fait dire MMmm plutôt que BERK à nos enfants. Bref, que du naturel et sans danger pour l’organisme nous assure les scientifiques de la gastronomie, nous voilà rassurés. Sauf que, En juin 2010, l'Association Santé Environnement France a lancé en collaboration avec France 3, une étude sur l'alimentation. Pendant 15 jours, les urines d'une personne passée au "bio" et une autre au "discount", ont été analysées. Lors de cette étude, une modification a été notée chez le sujet étant au "discount", celle de l'acide hippurique - multiplié par 4 par rapport à la teneur initiale. La présence de cet acide est liée à l'absorption de conservateurs alimentaires (E210 à E219 – famille des benzoates). Ces benzoates peuvent provoquer des réactions d’intolérance et sont régulièrement mis en cause dans les atteintes du développement neurologique de l’enfant (hyperactivité ou troubles de l’attention).
En ce qui concerne l’aluminium, Il est fabriqué à Gardanne près d’Aix en Provence dont la matière première, la bauxite (rouge), est importé d’Afrique. L’alumine (poudre blanche) ainsi obtenue après transformation, fait à l’heure actuelle, le bonheur de l’industrie chimique qui le traite selon demande. La nourriture, les cosmétiques, les médicaments, les vaccins (tous les vaccins). Il y en a même dans les laits infantiles.
Si vous voulez connaître la position de l’Union Européenne concernant la mise sur le marché de telles substances ainsi que les OGMs, vous pouvez consulter le site de la commission européenne qui a validé le codex alimentarius (codex alimentaire) sur le site suivant :
http://ec.europa.eu/food/food/chemi...
En Anglais !?!.. s’il vous plait.
Source: Agoravox
8 commentaires -
Par Adam Lepaté le 28 Août 2012 à 10:57
Claude et Lydia Bourguignon, deux scientifiques, ont fondé le LAMS en 1990 après avoir quitté l’INRA.
Le LAMS est un laboratoire indépendant qui étudie le sol sur le plan chimique, physique et biologique.
Claude et Lydia nous parlent avec humour, d’aberrations agricoles dues aux pratiques de l’agriculture dite conventionnelle.
Les petits pois :
Les pommiers nains & Les fraises Tagada :
Le porc maigre :
Et puisque nous en sommes là, bien beau de consommer des tomates, mais la grande majorité d’entre elles n’ont plus aucun goût, rien, de l’ eau, et même le JT de France2 s’est posé la question! Les responsables? Les OGM, tout simplement!!!! Une bonne occasion de rappeler l’importance du soutien envers Kokopelli!!!
Ce n’est pas seulement à cause des OGM, c’est surtout la standardisation de la culture, il n’y a plus aucune notion de terroir… Comment voulez-vous parler de goût quand toutes les choses ont un unique " goût "…
6 commentaires -
Par Adam Lepaté le 27 Août 2012 à 11:00
Ce film montre comment l'eau, la santé, les gènes humains, les semences, les connaissances traditionnelles et nouvelles sont de plus en plus accaparés par des entreprises privées, pour leur seul profit, au détriment des populations.
L’eau, la santé, les gènes humains et végétaux, les connaissances anciennes et nouvelles, plus rien ne semble pouvoir échapper au destin de marchandise. Face à la voracité des marchands qu’adviendra-t-il de la notion de bien commun qui est la base de toute vie en société ?
Le marché peut-il être le garant du " Bien Commun " ?
Documentaire réalisé en 2002 par Carole Poliquin (63mn)
Ce film présente une succession de témoignages, tournés au Canada, aux États-Unis, au Mexique, en France, au Brésil et en Inde, qui relatent ces processus de soumission du monde aux intérêts privés et leurs conséquences pour les citoyens. Carole Poliquin a choisi une présentation en clin d’œil aux sept jours qui auraient suffi à dieu pour créer le monde selon la Genèse : mais dans son film, c’est l’homme d’affaire qui asservit le monde en sept jours...
- Le 1er jour, l’eau : projet d’exportation de l’eau d’un lac canadien, assèchement du fleuve Colorado pour alimenter la culture industrielle américaine au détriment du Mexique.
- Le 2e jour, les connaissances : dépôts de brevets sur les produits naturels en Inde.
- Le 3e jour, les semences : avec Monsanto qui dépossède les agriculteurs de leurs semences et de leurs méthodes de culture par la dispersion des OGM.
- 4e jour : les gènes et le vivant, qui font l’objet de dépôts de brevets empêchant le développement de la médecine prédictive.
- 5e jour : les services publics et la pénurie créée dans le secteur public de santé, favorisant les compagnies d’assurances et les entreprises pharmaceutiques sous prétexte d’économies et de réduction d’impôts.
- 6e jour : les médicaments où la protection des investissements est privilégiée par rapport au droit à la vie, avec l’exemple des traitements contre le sida
- Le 7e jour enfin est réalisée la suppression des obstacles au marché par la neutralisation des institutions politiques, les traités commerciaux ayant préséance sur les lois nationales.
"Dans tous mes films, je me suis attachée à décrire à quelles aberrations nous mène la dérive économiste et marchande de notre société. Avec "Le Bien commun...", ce que j’ai voulu dénoncer, c’est l’extension de la sphère marchande à toutes les activités humaines, le marché se veut non seulement global, géographiquement mais aussi total, faisant de chaque activité humaine, de la nature elle-même, voire de nos propres gènes, une occasion d’affaires. "Carole Poliquin.
Source : Agoravox
le bien commun est une conséquence de la connaissance du bien par l'homme.
4 commentaires -
Par Adam Lepaté le 26 Août 2012 à 08:09
Excellent docu-fiction au scénario simple, permettant de voir de façon originale, l'impact de l'homme sur notre planète terre :
- Comment la nature reprendrait elle ses droits après la disparition de l'homme ?
- Que laisserait l'espèce humaine derrière elle après son départ ?
- Notre pollution pourrait elle être éliminée ?
- Que deviendraient nos animaux domestiques, les animaux des zoo et des fermes ?
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Que deviendraient nos édifices et nos constructions ?
DUREE : 1H27
http://www.youtube.com/watch?v=HYu0c01nrgM
Tchernobyl, une histoire naturelle ? Faites le rapprochement avec le film précédent!
Comme dans un film d’horreur… Vingt-six ans après l’explosion du réacteur n° 4, le 26 avril 1986, la “zone interdite” instaurée dans un rayon d’une trentaine de kilomètres autour de la centrale nucléaire offre la vision idyllique et paradoxale d’une nature préservée des ravages de la civilisation.
Bande annonce :
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